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Les épidémies

On va la faire court, et la vérité se fait jour: elle est telle qu'on pouvait la deviner il y a deux ans, quand après quelques mois de surprise, on put faire un bilan dont les conclusions ne furent pas modifiées. Dès ce moment, des esprits "forts", informés par des jugements vraisemblables, purent directement se faire une opinion, en utilisant les informations disponibles, finalement assez précises et qu'on pouvait utiliser à loisir. J'en étais, à défaut d'être le seul et tout ce que j'ai pu affirmer, désespéré et méprisant, haineux et aviné était exact: je ne faisait que répéter ce que j'avais lu et entendu et surtout sélectionné. 

Avais-je plus de temps ? Plus de moyens intellectuels ou politique ? Un meilleur instinct ? Bref.

1) la maladie ne concerne que les malades graves (cancer, hypertension, diabète etc) et les personnes âgées. En dessous de 50 ans en bonne santé, on n'est pas, et cela pas du tout, voire absolument pas concerné. Au dessus, la vaccination dont tout montre qu'elle protège des formes graves accidentelles ou comorbides est absolument indispensable. Tout doit être mis en oeuvre pour l'assurer, quitte à faire des visites à domicile pour les personnes ayant des difficultés à se déplacer, et bien sur s'assurer qu'absolument toutes les personnes suivies médicalement et concernées soient obligatoirement protégées, et cela à tout prix. Cette exigence, simple et de bon sens n'est pas assurée actuellement et cela est absolument scandaleux, on commence comme ça. 

2) la maladie est causée par des vagues successives de variants différents mais appareillés, d'un virus hautement transmissible. Ces vagues s'éteignent toutes seules du fait de la dynamique des mutations, ou en tout cas sans que l'on sache précisément pourquoi et comment. 

3) les politiques de contrôle social de l'épidémie, à part réduire marginalement les contaminations des personnes fragiles mises effectivement à l'écart, n'ont eu aucun rôle dans la dynamique de l'épidémie qui ne fut jamais contrôlée effectivement. Au contraire, la concentration aux mêmes endroits de familles ou de groupes humains d'origine et d'âges divers favorisa certaines contaminations dangereuses, on le vit aux excessives mortalités dans les milieux les plus communautaires et les moins bien soignés, les immigrations par exemple. 

4) les nombre de morts importants et les saturations hospitalières concomitants aux différents épisodes furent ainsi largement dus à un défaut de la politique de soins. On devait organiser et décentraliser une politique de test, d'isolation et de traitement des malades symptomatiques, en promouvant les examens, surveillances pragmatiques et informations sur les mises à l'abri des personnes concernées. On devait, ne serait ce que par pragmatisme laisser les médecines alternatives non dangereuses être utilisées à loisir en mesurant et qualifiant leurs usages. On devait, ne serait ce que par une anticipation somme toute évidente, fermer tout de suite hermétiquement les ehpads (ils eurent la moitié des morts). 

5) on a installé un climat global de panique injustifié et ruineux qui ne servit à rien, car les épisodes redoutés se succédèrent tous de la même manière et coutèrent à la société des sommes pharamineuses, 500 Milliards d'euros dépensés pour dédommager un arrêt inutile de l'économie, c'est beaucoup trop, mais cela fut exploité par une fraude à la hauteur et un soulagement global en regard.

6) on misa tout sur les propriétés d'un vaccin développé avec une célérité stupéfiante et qui apparut comme l'arme ultime, supposée résoudre entièrement le problème. Comme cela apparut presque immédiatement après l'annonce de sa mise à disposition, on pouvait avoir des doutes sur son efficacité et son innocuité. Sur les 5 vaccins immédiatement utilisés à grande échelle, un seul ne fut pas retiré de la vente ou réservé aux cas graves pour cause d'effets secondaires exagérés et il apparait que sur les derniers variants, il ne protège pas de la transmission ou de la contamination. Soin préventif efficace pour la réduction des cas graves, il ne concerne donc objectivement que la cible de la maladie, les mêmes: malades et âgés, et pas du tout le reste de la population. 

7) on a alors adopté une politique autoritaire imposant à toute la population une vaccination punitive contrôlée à défaut d'être imposée, et dont le résultat premier est d'occuper exclusivement les canaux médiatiques et politiques. Nous sommes en période électorale, et aussi en période d'incertitude globale, des stratégies de communication complexes sont à l'œuvre, et manifestement instrumentalisées par une technostructure aux abois. Motivée officiellement par la nécessité de contrôler l'épidémie en empêchant les contaminations (ce n'est pas le cas) et les cas graves ( qui ne concerne qu'une partie connue de la population), elle généralise abusivement une estimation d'efficacité partielle et de gravité partielle.

8) le cout humain est considérable, et n'est pas encore apprécié ou mesuré véritablement. Il concerne les personnes non concernées par l'épidémie et qui furent délibérément sacrifiés au sentiment "humanitariste" non discuté qui s'imposa par force à la société. Enfants en apprentissage obligés de porter un masque inutile, gênés et surtout incapables de communiquer avec leurs camarades et professeurs, étudiants cantonnés dans leurs chambres, privés d'échanges de toutes sortes, jeunes entrepreneurs et travailleurs paralysés acculés à demander assistance, travailleurs obligés à exercer à distance dans des environnements familiaux contraints sans contacts humains. J'en passe. 

Au sujet des enfants. 

Christèle Gras Le Guen est pédiatre, présidente de la Société française de pédiatrie et cheffe du service de pédiatrie du CHU de Nantes:  "C'est une question que je partage avec de très nombreux collègues pédiatres : pourquoi l'enfant a-t-il été placé au milieu d'autant de discussions et de polémiques lors d'une pandémie qui affecte si peu sa santé ? On savait dès le début, et on le confirme aujourd'hui, que ce virus affecte moins les enfants, les rend moins malades, qu'ils sont probablement moins contagieux même si on a vu une évolution… Cela aurait pu faire que l'enfant soit hors de propos dans cette pandémie."

Qu'en termes élégants et mesurés on reconnait qu'une maltraitance ignoble fut organisée par des salauds pendant deux ans pour rien ! 

9) Maladie virale due à un virus similaire à celui de la grippe, peu immunisant, le covid 19 est une maladie endémique avec laquelle il faut vivre, dont on peut s'immuniser globalement car la circulation, que de toute façons, on ne peut pas contrôler, est globale et nécessaire. Cette conclusion vient d'être donnée par un éminent épidémiologiste américain (1), le docteur Fauci. C'est ce que je pense depuis la fin de la première vague. On pouvait le prévoir dés ce moment. C'était il y a un peu moins de deux ans. 

Voilà, tout est dit. Ceux qui dirigèrent le pays dans ces circonstances disposaient et disposent d'éléments rationnels concernant ce qui s'est passé et se passe et semblent ne pas en tenir compte. On va passer aux explications. 

1) Dans "humanitariste" il y a humanitaire, et la question de la protection due aux malades et personnes âgées fut bien sur une motivation première dans notre société vieillissante, mais il y a aussi opinion à reproches, et la peur justifiée des plaintes pour défaut de soins fut également majeure. Jamais à un tel degré, la question de la justification par la mise en œuvre des moyens ne fut autant utilisée, l'"obligation" étant le maitre mot. Obligation de l'Etat et aussi du peuple. Cette responsabilité partagée et imposée est un ressort fondamental, et bien sûr efficace pour répartir la contrainte, la manœuvre, classique étant connue depuis toujours. 

2) Constituée, voire étranglée d'experts et de consultances, la technostructure dispose d'une mémoire humaine et scripturaire considérable quant à la gestion des épidémies, et le système de santé, sous tension et sous attention depuis des années dispose d'innombrables avis disponibles sur ce qu'il convenait de faire, prévoir et organiser. 

Le système de décision qui prit en main la situation, réduit à quelques personnes sous l'autorité du chef de l'État, utilisa tous les leviers fondamentaux de l'État pour contrôler complètement les processus exclusivement réduits  à ce qu'on a vu: confinement, dédommagements, vaccination, contrôles, fournitures de vaccins et masques. Tout fut massif, absolument centralisé, incontesté, ordonné et en fait improvisé. Pour faire court : rien de ce qui est la vraie expertise des composants du système de santé ne fut mis en œuvre, libéré, appelé à œuvrer. 

3) On parla de la reprise du pouvoir des praticiens hospitaliers qui soi-disant s'affranchirent dans l'urgence des lourdes procédures administratives dont ils se plaignaient depuis des années et qui était leurs principales revendications exprimées avec véhémence devant le président quelques mois avant la pandémie... Elle fut bien sûr abolie dès la première accalmie, et sans doute aggravée par les sur-planifications qui eurent lieu, car l'hôpital travaille et le covid, comme on l'a appris sur le tard ne fut que marginal dans son activité globale, il travailla beaucoup, simplement gêné, en dehors de la réanimation, qui bien qu'engorgée, était en fait limitée en volume ! On continua donc de réorganiser, de faire de l'ambulatoire, et de diminuer donc les fameux lits de réanimation, se projetant encore plus dans un après aux réductions de cout encore plus nécessaires. Le résultat est la désespérante perte de motivations de la population des soignants, mal payés et préférant se consacrer à l'assistanat passif plutôt qu'au prolétarisé métier d'immigré piloté par les procédures. On ferme des lits faute de personnel pour les utiliser à soigner. 

4) On pourrait s'étonner de l'apparente contradiction entre la nécessité affirmée de rendre l'hôpital seul habilité à soigner une maladie dont on ne considérait que les formes graves, et la plainte permanente publique permanente et au combien, de l'engorgement hospitalier. On a vu pourtant dans bien des pays, ces trafics de bouteilles d'oxygène, premier moyen décentralisé pour permettre aux malades de respirer, et qui auraient pu en étant largement distribuées aux médecins, aux infirmiers, aux ehpads prévenir ou soulager bien des souffrances, voire éviter des morts. Car on a su très tôt que l'insuffisance respiratoire pouvait être anticipée et prévenue. 

Bref, et c'est mon avis, on a négligé un traitement amont de la maladie, ce qui fut cause d'engorgements et aussi de morts inutiles.

La contradiction peut s'expliquer au demeurant: la médecine vis-à-vis à des personnes âgées est à la fois fataliste et excessive. Fataliste car habitués (c'est l'essence du soin) à la miraculeuse cicatrisation qui fait (tous les soignants vous le diront) la guérison chez les jeunes accidentés, le médecin face à la vieillesse pourrissante où n'est que facteur aggravant ne peut que recourir à l'extrême: respiration extra corporelle, tubes invasifs, doses massives de stimulants et de  corticoïdes. La pharmacopée de l'extrême conçue pour sauver les vies de ces mêmes jeunes accidentés et qui y réussissent tellement souvent (c'est cela la faible mortalité de l'Occident de nos jours) fut utilisée pour tenter de prolonger de quelques mois les poumons détruits de cette masse de vieillards et d'obèses qui se précipitaient aux urgences. 

La contradiction s'aggrave encore avec la vaccination qui fait venir ces monstrueux cas graves qui plus est non vaccinés. Paradoxalement, le régime du "tout hôpital" se renforce encore. Faute d'avoir alloué assez de ressources à la poursuite et à la vaccination systématiques des cas à risques  (on ne s'intéresse qu'aux enfants, aux jeunes fêtards, aux clients des restaurants) on se retrouve encore en saturation alors que le virus est beaucoup moins dangereux, et que la vaccination est efficace contre les formes graves. La preuve de ce raisonnement tient à ce qui se passe actuellement dans les ehpads ou bien sur les alzheimers sont vaccinnés sans leur consentement: il n'y a tout simplement plus de morts dans ces lieux là... 

5) Le système médiatique et communicationnel qu'il soit le fait des journalistes, des experts convoqués pour expliquer, des responsables administratifs en fonction et en retraite et bien sur des ministres et des présidents (le pluriel est une manière pour l'unique occupant de fonction, que la malédiction des enfers retombe sur sa sale petite gueule de gamin taré) est par contre exclusivement occupé à dispenser des inexactitudes, des faussetés et pour tout dire, en permanence des mensonges caractérisés aisément discernables par toute personne informée normalement. 

a) Il y aurait des jeunes concernés par la maladie. Vrai, ceux qui ont des comorbidités importantes, obèses (c'est le cas aux US pour un certain nombre d'enfants, par exemple) , diabétiques ou hypertendus. Comme on a dit. Mais pas les jeunes en bonne santé, par contre. L'argument est bien sur utilisé pour dire que tout le monde est concerné. En fait non, les jeunes en bonne santé ne sont pas concernés, pourquoi ne pas le redire encore en encore ? . L'"écrasante majorité".

Comment le faire comprendre ? Impossible. Répété en boucle par le président lui même, partout on juge qu'il faut communiquer à l'opinion que "tout le monde" est concerné et doit contribuer à se protéger d'un mal qui ne concerne pas tout le monde. 

b) le vaccin protège de la contamination et de la transmission. Non, pratiquement pas. En fait, bien sur, pour les premiers variants il le fut partiellement de manière partielle mais sensible (plus ou moins de 50% sans doute) et à ce taux, l'effet de la vaccination mérite d'être considéré. Il serait aujourd'hui pratiquement nul, et une personne vaccinée peut parfaitement avec peu de symptômes, être très contaminante. D'ailleurs, les mesures faites internationalement le montrent très bien: les contaminations sont massives, exponentielles, dans des régions où la quasi totalité de la population est vaccinée. 

La vaccination, il faut le dire, ne permet pas le contrôle de l'épidémie. Comment le redire ? Comment le faire comprendre ? Vacciner des jeunes en bonne santé ne sert strictement à rien. Cela ne sert pas à réduire les contaminations, on vient de le voir, et ne sert pas à soigner une maladie qui ne se manifeste pas ou peu, voir le point d'avant. 

Avant 50 ans la vaccination ne sert à rien. A rien de rien de rien. 

b1) les enfants sont contaminateurs et les professeurs doivent s'en protéger. Cela est absolument faux. Les enfants ne sont pas atteints par la maladie, et ne la transmettent que très modérément, voire pas du tout. Ils ne sont pas concernés. En grève ce Jeudi (nous sommes le 13 Janvier) la portion des profs assez dégénérés et pétochards pour exiger en sus du délirant protocole débile et absurde que la folie gouvernementale impose aux parents d'élèves, de nouvelles protections pour leur sale cul de lâches et de pourris ne méritent que le mépris et le dégout. 

c) ll n'y a pas de traitements. C'est absolument faux: un grand nombre de traitements variés, plus ou moins efficaces et hautement dépendants des personnes concernées ont des effets et font varier significativement les taux de mortalité dans des populations similaires. Car la maladie garde un taux de létalité, y compris dans les groupes concernés (malades et âgés, les seuls à considérer) relativement réduit. Bien des obèses âgés contaminés en réchappent. Les soigner, les entourer, les faire respirer, stimuler leurs défenses immunitaires, tout cela améliore leur état. Le soin améliore l'état de malades sujets à la panique, au désespoir, à la fin de vie, à la gêne corporelle permanente. Le placebo soulage les mourants, les fait vivre, les pousse à se défendre... 

Mépriser et condamner cela est inhumain, délétère coupable et pourquoi ne pas le dire ? Punissable. 

d) Les "faux remèdes", hyroxychloroquine ou ivermectine sont toxiques. C'est faux. Choisis précisément pour leur inocuité et le fait qu'ils ont été administrés massivement à travers le monde, ils peuvent être utilisés massivement sans danger pour des bénéfices qui furent mesurés, même si bien des gens n'adhèrent pas aux preuves présentées. Par la vertu du point précédent, rien ne s'oppose à leur utilisation, et le mépris scientiste n'est pas de mise, surtout quand il est basé sur un faux savoir, celui de la preuve absolue obtenue par des tests extrêmement couteux, largement critiqués et qui comble du comble ne furent tout simplement pas appliqués au remède suprême, le vaccin, dont la validation fut négligée voire entachée de fraudes ! 

e) le confinement et le contrôle social ont évité les nombres de morts annoncés par les modélisations faites par les épidémiologistes vedettes britanniques (le fameux Ferguson) et français (l'institut Pasteur). 

Cela est absolument faux. Toutes les études, toutes les convictions, tous les bons sens montrent deux choses: 

e1) les modélisations, faites hors toute mesure ou théorie sur la propagation et la virulence d'un nouvel être vivant inconnu n'ont bien sur aucune valeur ou intérêt. De la pure projection numérique basée sur rien, de la merde en barre mensongère comme la derniere pourriture de leurs cul foireux que je défoncerais à la barre à mine. (pardon). 

e2) toutes les études comparatives sur les différents confinements ont montré que hors isolation complète, incluant distribution de nourriture à domicile, interruption d'absolument tous les transports et bien sur fermeture complète des frontières (les 2 dernière mesures, indispensables, étant en fait les seules efficaces), il ne servit absolument à rien, voire augmenta les contaminations dangereuses, les personnes à risque n'étant pas protégées, bien au contraire. 

A partir de là, les enculés qui ordonnèrent l'arrêt partiel de l'économie au prix de 500 milliards d'euros qui profitèrent à la grande distribution et au commerce internet sont punissables pour le moins. Qu'ils soient maudits. 

Cela sera ma conclusion. Mon mépris et mon dégout pour ce monde est infini. Je souhaite sa destruction par la violence. 

P.S. 16 Janvier 2022, le pass vaccinal est adopté par tout le monde et en plus qui le trouve "utile"... L'épidémie arrive à son pic (3,2 morts par millions par jour). Le summum du mépris de l'intelligence et de la logique, le summum de la crétinerie manipulée et de la dégueulasserie parlementaire, la honte totale. 

P.S. 25 Janvier 2022, le pic n'est pas atteint en fait, on en est à 3,7 (rien d'exponentiel par ailleurs...). Par contre, les hospitalisations restent sous contrôle apparemment et tout le monde en a marre. Les US sont à 7, en augmentation, mais là pareil: on n'en peut plus, il faut s'y faire, y a rien d'autre à faire. 

(1) https://www.lefigaro.fr/flash-actu/anthony-fauci-apres-omicron-les-etats-unis-pourraient-arriver-a-vivre-avec-le-virus-20220112

 

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