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Les choix

 

Lu, émerveillé, "La Fin de l'amour, enquête sur un désarroi contemporain " de Eval Illouz (1). On mentionne ici l'interview, déjà bien carabiné.

Le féminisme c'est la politique du choix.

Cette admirable définition est l'occasion de gloser à l'infini sur la différence sexuelle et toutes ses conséquences, sans parler du capitalisme, le grand responsable du malheur des gens, lié aux émotions et à la sexualité, le choix entre les deux étant impossible, c'est une femme qui parle. 

La glose sur le choix est une merveille, et la mythologie qui s'y associe est infinie. Par exemple, cette extraordinaire (je la découvre) saillie: "l'économie explique comment on choisit, la sociologie comment on n'a pas à le faire".

On a déjà là de quoi remplir une bibliothèque entière, et on n'a pas encore parlé cul ! 

Et puis les deux acceptions (il y en a un google d'autres, mais c'est déjà ça):

- le grand nombre: vous trouverez dans notre magasin un très grand choix de chaussures à talon.

- le petit nombre: il vous faire le bon choix après il sera trop tard.

On se lance d'emblée donc dans les arcanes du langage et dans le coeur de ce qui rend la signification elle même possible et le féminisme, avec sa définition a fait très fort. Peut être trop fort. 

Les féminismes

On avait glosé sur les féminismes, au moins trois, Beauvoir qui veut que les femmes soient des hommes, les féministes modernes qui veulent que les hommes soient des femmes et les queers qui veulent supprimer la distinction et tout permettre en même temps. 

Il y a aussi une variante de l'asservissement des hommes, dirigée par les anti pornographie (Andrea Dworkin, Catherine MacKinnon, elle même inventeur (on dit pas inventrice) du harcèlement sexuel). On est là dans l'un des dévoiements du féminisme moderne, auquel appartient il me semble l'auteur (on dit pas autrice) de notre lecture, et c'est le fond de l'affaire. 

Les Queers incluent bien sur la cyborg Donna Haraway, qui préfère "être cyborg que déesse" et qui mélange les catégories bien sur Judith Butler. Le choix, vous dis je, le choix. 

Les queers sont critiqués, et attaqués même, par exemple pour leur négation du corps, qui n'est plus le support de la différence sexuelle et qui empêche donc la femme et donc la discrimination dont elle est victime et qui nous nourrit (je rigole), mais aussi le déterminisme social lié au genre, on ne peut s'abstraire de cela. Butler est combattue ! 

Il y a aussi les modernistes ringardes (2), celles qui en 2020 associent Marx (le fétichisme de la marchandise) et Freud (le fétichisme tout court) dans le masquage (ou le cacheage) du corps de la femme, symbole du désirable pour mieux masquer et cacher qui l'absence du pénis, qui le travail exploité. Cette découverte du pot aux roses, en fait soulèvement du couvercle, révèle les lettres interdites du milieu des parfums, comme quoi le sexe cache le sexe et on ne se refait pas, c'est la loi du genre... 

Glosons: le symbole caché dont le sexe est le symbole a un coté circulaire et religieux plaisant mais hélas un peu décevant (comme le sexe lui même d'ailleurs), tout le plaisir restant dans les préliminaires... Bien sur il y a la jouissance, mais elle est elle même diverse et sa simulation est incluse dans le concept. Que l'importance du masquage soit principalement stimulant pour les tenant(e)s de ce qu'on appelle "le sexe", dont l'intellectualisme a l'air particulièrement passionné du sujet (on ne parle bien que de ce qu'on connait le mieux) n'est pas étonnant. Il a son pendant dans les considérations sur le symbolisme, la chose à cacher (ou dont on déplore l'absence ) étant là le phallus patriarcal, c'est la guerre des sexes on l'aura assez dit. Non pas que Freud ou Marx soient homosexuels mais c'est bien la conjonction des deux qui a un coté coucherie des années 70 (collective et droguée)... 

Matriarcat 

On pourrait donc (horreur pour beaucoup) identifier les domaines et parler du symbole en général, identifier le corps de la femme à un symbole (de quoi d'ailleurs?) quoique certaines iconographies quasi explicites identifient graphiquement bien le postérieur féminin à une tête de noeud. LE sexe tout entier en une image solitaire sensée tout représenter. Le sexe symbole du sexe... Cette vision très "féminine" de la chose fut rejetée par la civilisation pour plusieurs raisons et n'a pas lieu d'être, les ridicules élucubrations modernistes n'étant que déni et dégénérescence.

Expliquons nous: l'orgie rituelle est toujours associée à un désordre religieux sacrificiel localisé (sur un petit dieu, sur une petite région), et c'est toujours la polarité (isis, zeus) qui fut choisie pour représenter la grande divinité. Jamais le sexe en tant que tel, comme fusion, ne fut véritablement divin et l'androgyne n'est qu'une fable antique qui ne concerna que l'humain, et encore. Le divin est toujours "unique" dans son rôle qu'il ne partage jamais.

D'autre part, et cela contrairement à une légende tenace dont la dame se fait d'ailleurs l'écho, le "matriarcat" n'existe pas positivement ou dans des formes extrêmement régressives, tout à fait éloignées de ce que nous considérons comme la civilisation. On peut en effet y associer les sociétés agraires pacifiques pratiquant les sacrifices humains, sociétés de frères réglés par les mères, typiquement les proies des groupes nomades dominateurs qui les pillent et les exploitent tout au cours de l'histoire. Ce sont les systèmes patriarcaux qui mettent fin à cet équilibre mortifère en fondant des états symbolisés imposant la domination statutaire et imaginaire des guerriers et des prêtres, tous masculins. Ce qu'on appelle le patriarcat est cette symbolisation, qui tout en accordant au "féminin" biologique la possibilité d'accéder au pouvoir symbolique, rejette essentiellement l'impérium féminin en tant que tel. Compatible pourtant avec l'égalité des êtres, il refuse l'égalité des symboles, le "féminin" étant simplement assumé comme polarisé et en charge des enfants et du soin, comme il l'a toujours été. A cet égard, la conception des "rôles" que peut assumer en fait n'importe quel sexe et qui est promu par l'expression d'un certain féminisme de "bon sens" me parait parfaitement saine et tout à fait compatible avec ce patriarcat là. 

Cette conception "moderne" du patriarcat, j'insiste est possible et même nécessaire et en fait absolument indispensable. Les valeurs "féminines" n'ont rien à faire dans le serrage des boulons et une femme peut tout à fait serrer des boulons comme n'importe quel homme, cela est certain, mais cela sans pouvoir réclamer une façon "féminine" de le faire qui apporterait quoique ce soit à la chose. Cette égalité des acteurs (ce qui revendique le qualificatif "moderne") doit s'accompagner également d'une dilution de l'affirmation inutile des virilités excessives. 

Car il faut bien l'admettre, il y a un "masculinisme" qui se révèle tout aussi insupportable et malsain que le féminisme. Assis sur l'homosexualité correspondante, les deux fétichismes magnifient pour le compte de tous des images valorisantes de leurs sexes qui sont en fait déplaisantes. Que je sois femme ou tout simplement petit gros à lunettes, je ne comprends pas les injonctions à pratiquer le culturisme ou de la nécessité d'être un gros homme poilu pour piloter un camion. Ces symétries là sont à rejeter, et à ne pas confondre évidemment avec les injonctions à la beauté typique, l'extrême maigreur pour les unes, la barbe parfumée pour les autres, qui ne sont qu'expressions de préférences sexuelles de la mode du moment. 

A ce titre, les "parités" et autres discrimination positives en faveur des femmes sont à rejeter, je dirais absolument: rien dans la "féminité" ne justifie l'égalité du nombre des gonades des deux grands types dans un groupe d'humain en responsabilité. Qui plus est la question des genres qu'il faudrait aussi discriminer positivement (tant qu'à faire) rend maintenant la chose impossible voire ridicule.

De fait je crois vraiment que le fétichisme féministoïde de l'époque n'est qu'une mode progressiste lamentable dont on aura honte plus tard. Bien des femmes, mais pas toutes hélas et pas en public hélas, ont sur ces choses des sentiments tout à fait acceptables et à la mesure de l'entente intellectuelle qu'elles souhaitent avoir avec leur partenaires sexuels et sentimentaux. Comment obtenir des accords durables ou profonds sur la base de tels préjugés, de telles superstitions ? 

Freud

Mais puisqu'on est dans Freud restons-y (zi)(3). 

La dame compare l'époque du docteur à la nôtre. De la même manière que le psychisme sexualisé du début du XXème siècle était en conflit avec les normes stricte de sa société, on a un phénomène similaire (l'idée est brillante) aujourd'hui: la liberté sexuelle oppressante imposée par le capitalisme "scopique" serait en conflit avec les idéaux sentimentalistes de nos intériorités ! 

Ce conflit entre intériorité individuelle et société, qui caractérise toujours l'entrée dans l'autonomie des acteurs se trouverait ainsi inversé, mais toujours présent, pourquoi pas ? 

Mieux, et là on a vraiment une belle réflexion, la société étant décrite comme passée d'un fonctionnement basé sur le désir, la rareté et l'interdit, à un fonctionnement basé sur la jouissance, et l'obligation à consommer l'abondance, c'est le sexuel ringard (familial, patriarcal et sentimental ) qui serait en pointe dans la défense contre l'ignoble marché corrompu. Pourquoi pas, d'ailleurs car on mesure bien le familial comme un lieu d'échange refuge pour beaucoup, en tout cas largement reconnu comme zone et source de protection contre les aléas de la vie. 

Qu'une autre partie de la population (c'est toujours pareil, nous ne sommes pas semblables), ait intériorisé y compris dans le familial, les aléas libéraux de la vie moderne, cela est cependant possible et observé. La recomposition des familles, les variations de l'héritage que cela peut entrainer, peuvent restructurer et déstructurer les hiérarchies et les liens de loyauté peuvent devenir variables et fluctuants. C'est bien la famille qui est le lieu des décisions de vie sur ces points. A moins que la famille recomposée, malgré son caractère fluide reste tout de même, sous la conduite de mères (multiples pourquoi pas) énergiques, le lieu de l'autre communalité possible ? Dans ce cas, on pourrait imaginer effectivement un glissement de ces groupes là vers un matriarcat au sens décrit, le conflit nécessaire d'avec l'individu autonome se matérialisant par la résurgence de l'agressivité pillarde des hommes, ce qui renforcerait les clivages entre modes de vie ou bien entre hommes et femmes. 

Car le clivage pourrait se manifester symboliquement, pourquoi pas? Au prix d'une formalisation de la sexualité d'échange (la ritualisation du consentement devient de plus en plus fréquent) des communautés distinctes formées de femmes d'une part, d'hommes d'autre part entretiendraient des échanges explicites, chaque groupe ayant ses initiations propres, un peu comme dans certaines sociétés primitives. Des formes complexes d'homosexualité se manifesteraient et la technologie simplifierait beaucoup les problème de reproduction, l'inutilité du rôle social du père étant maintenant en voie d'acceptation générale. 

 

Les capitalismes et les non choix

La grande thèse de l'auteur, assez brillante au demeurant, est la conceptualisation du "non choix", la liberté négative de ne pas choisir, sexe, stabilité de la relation et vie commune, bref tout le foutoir libertaire du sexuel moderne (d'après la dame). Ce non-choix destructeur des stabilités émotionnelles et sociales traditionnelles et liberté de ne pas choisir et de rompre les relations sexuelles ou émotionnelles, à tout moment, est le diable de la dame. Il instaure et installe la rupture du contractuel dans le monde moderne. Rien que ça.

Bien que basé sur le contrat et la confiance dans l'accord marchant, le capitalisme pourrait sembler éloigné de cette souffrance: ce n'est pas le cas, le néo-capitalisme (le véritable ennemi, comme toujours) n'arrête pas d'introduire des pratiques de non choix, depuis les produits dérivés jusqu'aux horaires flexibles, aux externalisations variées, aux locations systématiques, à l'accès plutôt qu'à la propriété. La voilà la modernité et le parallèle entre le public économique et le privé sexuel et émotionnel est analysé à fond. On a alors un capitalisme à dénoncer qui se trouve "scopique", organisé autour de la valeur donnée aux images de soi et des autres, le corps de la femme étant évidemment la première forme d'image à consommer; l'image de soi des consommateurs masculins eux même en compétition pour la possession des premières en étant l'autre forme. 

Compétition d'acteurs autonomes flexibles sans loyauté, essentiellement libres, c'est à dire angoissés et remis en cause en permanence. Un cauchemar individualiste... 

Mais cette histoire de "non choix" reste brillante et particulièrement bien vue, comme accession à la subjectivité et à l'autonomie et aussi, tout simplement à la solitude, vivre sans relations ou avec des relations épisodiques devenant plus fréquentes, tout simplement. Tout cela nécessitant pour les agents économiques créateurs de valeur (sexuelle) une nécessité pour tout l'attirail de la valorisation de soi, du développement personnel jusqu'aux spiritualités et engagements variés: c'est l'âge de l'engagement de la femme et donc des fémimismes, voir plus haut.  

Mais bien sur le thème houellbecquien n'est pas évoqué ou à peine, on a ici une femme vieillissante qui fait des généralisations, et qui veut à toute force qualifier le capitalisme comme ce qu'il n'est pas, une mode. Alors que le marché comme toujours ne convient pas à tout le monde, et la sélection du bon produit écarte les produits avariés, les êtres non conformes à l'air du temps, obligés de faire ceinture ou de se cacher dans les grottes des autres modes de vie. Houellbecq les décrit ces perdants, c'est son truc à lui. Notons que tout de même que la dame tout à son anticapitalisme, évoque tout de même la chose en évoquant les "incels = involutary celibate". 

Au passage, on est là aussi dans le domaine des féminicides de masse, plusieurs tueries publiques visant des femmes ayant été commises par des "incels". Appartenant à des groupes misogynes de célibataires réclamant du sexe (et n'en obtenant pas) ces gens seraient produit par le capitalisme scopique ultra sexualisé. Disons que le monde social actuel est impitoyable pour les moches, et la grève du sexe des féministes trop exigeantes est aussi ce qui attend les jeunes hommes frustré aux idées trop arrêtées. On pourrait dire que l'inverse est aussi vrai, et les femmes trop exigeantes sont aussi malheureuses, bref personne n'est content on dirait.  

Au passage on apprendra aussi que pour les incels le monde est formé, à part eux, de "stacy", femmes ayant des rapports sexuels avec les "chad", homme attirants. Simplement cela les exclue et ils dénoncent un ordre non pas social mais sexuel. Le terme fut d'ailleurs forgé par une femme, et généralisé... 

La question est de savoir si le "marché" recouvre vraiment tout le territoire, et si ne se maintiennent pas tout simplement, dans ses limbes, des niches écologiques où les moeurs seraient vraiment différents. Quantifier tout cela serait intéressant, et les "témoignages" de baiseurs et zeuses qui agrémentent les enquêtes féministes, quoique bien drôlatiques et se voulant édifiants (excitants) sont peut être tout simplement non significatifs. Car souvent l'intime est lassant et on ne peut si on n'est que modérément curieux, que se foutre éperdument des sentiments tordus de personnes dont on n'a que faire. Les désirs de changement d'être superficiels ou tout simplement ennuyeux génèrent l'ennui, tout simplement, l'ennui qui pousse à partir quand il est trop irritant. Et comme l'époque rend possible et loisible le départ, pourquoi s'en priver ? On se fout de tous ces gens et on a le droit de s'isoler soit dans des groupes sympas si on en trouve, soit sur l'internet, c'est fait pour ça. 

Néanmoins, la thèse de l'entrée du sentiment "libéral" dans l'intériorité des personnes, qui les transforme en consommateurs de leur vie garde une pertinence: par opposition à la situation traditionnelle où l'intime et le sentimental peuvent s'opposer à la société, on se retrouve dans un monde où l'intime devient part intégrante de la société et plongé dans elle, en public... On pense aux réseaux sociaux où tout se mélange: la vie publique continue  depuis ses chiottes et le jour même où un candidat à la mairie de Paris abandonne son combat pour cause de divulgation en public de ce qu'il avait déjà divulgué en privé mais dans une forme publique (une vidéo de sa teub, tout de même), on se trouve bien dans l'actualité et dans son époque. 

Pourtant c'est bien parce qu'un homme politique en activité, ex ministre de surcroit, croit pensable de vivre sa sexualité en utilisant hors mariage les moyens modernes de communication qu'on a ce type d'actualité: ce qui est pensable se réalise, forcément... Que l'homme ait pu être à l'origine d'un parti ("En Marche") consacré au progressisme et  qui se voulait ruiner un ancien monde pour laisser la place à un nouveau bien plus excitant est plaisant et illustratif d'une certaine modernité. 

Les distinctions

La distinction selon Bourdieu caractérise les attitudes des classes sociales en conflit. On introduit une distinction sexuelle qui fait différer les gouts ou les attitudes et bien sur introduit une domination de type économique, les belles jeunes filles étant consommée par les beaux hommes (ou les riches). Le désir sexuel public explicite et socialisé produit donc de l'exclusion ou plutôt des groupes de consommation, et c'est toute la question. 

On assiste de fait à un fractionnement de la société et les classes ne sont plus celles qu'on croit... C'est ce qu'on a évoqué plus haut, et la chose est réelle. Il y a existe des points de vue portées exclusivement en fonction de l'appartenance à une classe sexuelle. Impossible de se déclarer contre le mariage gay dans certains milieux par exemple, la négation de la possibilité même de la question étant ouvertement revendiquée par certains activistes, qui généralisent la chose à pratiquement tous les domaines, les questions sexuelles devenant ainsi inquestionnables. 

On trouve des propositions quasiment indiscutables et adoptées immédiatement de rendre le crime de viol imprescriptible par exemple. Soutenues par des cohortes de femmes se piquant d'engagement progressiste, voire de supériorité intellectuelle, ces propositions sont clivantes sexuellement: comment baiser une pareille suffragette en se permettant d'ironiser sur la question ? Cet amour survivra-t-il à un murmure lâché pendant son sommeil? 

Contraints dans ses discours et ses attitudes, l'acteur sexuel est exposé en permanence à la vindicte et surtout à l'abandon immédiat en cas de faute grave, et il y a plein d'occasions d'en faire. Heureusement, le marché pourrait équilibrer les choses, et passées des premières années très exigeantes, les modèles d'occasion, c'est d'ailleurs ce qu'on observe, pourraient se révéler plus accommodant(e)s. On pourra alors trouver qui des adeptrices du football, qui des fuck la saint valentin... 

Car les comportements ne sont pas figés, et l'important est de réagir. C'est l'objet de la liberté que de le permettre, et il ne faut jamais se plaindre de celle là. 

 

 

 

(1) https://www.lejdd.fr/Culture/Livres/la-sociologue-eva-illouz-la-sexualite-est-une-marchandise-3948495

(2) https://laviedesidees.fr/Laura-Mulvey-Fetichisme-et-Curiosite.html

(3) pardon.

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