Les Actions Concrètes
On voudrait jouer à son petit décideur politique et concrétiser ce qu'il faudrait faire si on voulait vraiment faire ce qu'on dit qu'on voudrait. Deux problèmes ressortent de tout cela, le trafic de drogue et l'islamisation, deux maladies modernes inconnues des temps que regrette Zemmour et qu'il faudra bien traiter un jour ou l'autre.
Mon point est que le système sociétal actuel auquel les deux maux se sont adaptés au point d'en faire partie intégrante, n'est plus viable et qu'il doit être réformé, ou du moins rendu compatible en principe et surtout en droit avec des actions énergiques aujourd'hui spécifiquement interdites et donc impossibles à mener dans le cadre actuel des règlementations et opinions.
On considèrera les opinions: les protestations menées contre les lois en vigueur sont aussi un problème non résolu, et font partie du cadre général de la lutte contre l'insécurité, qui ne se résume pas au trafic de drogue dont le caractère nuisible n'est effectivement qu'une partie du problème en question. Que l'on soit dealer opposé à la présence policière sur les lieux de son commerce ou black block opposé à la même présence sur les lieux de ses déprédations, on a le problème de l'"opinion" , sans doute le seul vrai problème des sociétés démocratiques quand elles se laissent aller à considérer la violence qui la nie elle même comme partie d'elle même. Les émeutes après match ou après mort suspecte ne sont que des mouvements d'opinion, à prévenir dans leurs formes désagréables: voilà l'opinion de bien des gens, voire de l'opinion, qui se refuse à envisager autre chose...
Surtout que cette "opinion" va très au delà et concerne aussi les personnes soit-disant libres de se détruire les poumons, le cerveau et la cloison nasale et qu'on se devrait de laisser le faire, au prix d'une santé publique délabrée incluant, cela commence à se voir, une jeunesse et une adolescence massivement concernée par des santés mentales fragilisées qui vont jusqu'à provoquer, on le voit actuellement, une hausse de la mortalité infantile. La consommation massive de stupéfiants faite par le monde "moderne", et encore, nous n'avons pas encore vu arriver le fentanyl, a maintenant des conséquences très négatives, et là encore, elles ne sont considérées encore que comme des exercices de la liberté et donc de l'"opinion".
On pourrait se contenter du fascisme. Celui-ci, en établissant le pouvoir politique comme soustrait aux lois qui ne servent plus qu'à codifier ses décisions, peut, par la violence qu'il impose, maitriser toute opposition à ses décisions qu'elle soit d'opinion ou de fait. La peine de mort pour les trafiquants de drogue, appliquée jusqu'à l'injustice envers des enfants guetteurs mitraillés pour l'exemple pourrait ainsi être considérée comme une solution inévitable et "efficace". Elle a d'énormes inconvénients dont le premier est sans doute que pour l'adopter, les discussions pourraient être longues, hors son imposition par la force, ce qui pourrait répugner à trop de gens. La solution, s'il y en a une, se doit d'exclure celle là.
Il convient d'analyser ce qui fait obstacle à la simple interdiction par ailleurs déjà en vigueur de ces choses déjà en vigueur. Car ne nous trompons pas: la question n'est pas d'interdire de jure, mais bien de facto : la consommation et la vente de stupéfiants est prohibée, et la propagande pour un régime politique basé sur les règles absurdes écrites noir sur blanc dans les textes de la tradition islamique aussi. Notre première affirmation est donc simple: nous ne pouvons pas physiquement, moralement et judiciairement suivre nos propres règles d'action édictées car celles ci contredisent d'autres règles, celle-là implicites. Le droit est paralysé par la morale, voilà mon point.
Restons quelques instant sur le cas "islamique".
Il n'est pas possible à l'heure actuelle d'exiger de la religion musulmane sunnite qu'elle déclare obsolète officiellement les textes qui autorisent et règlementent les 5 piliers "infâmes" (sexualité avec les mineurs, mutilation des voleurs, mise à mort des apostats, pratique de l'esclavage, statut inférieur des mécréants). Ces principes fondamentaux, absolument exclus des propagandes politiques et morales de notre sociabilité sont présents textuellement dans des textes irréformables qui ne peuvent être abolis. Ni d'ailleurs interdits: qui peut ou veut interdire l'islam? Faute de pouvoir à tous les sens du terme, être modifiés, oubliés ou interdits, ils perdurent officiellement et il serait même "islamophobe" que de les décrier davantage.
Pourtant, "de jure", la proclamation de l'invalidité de ces textes est nécessaire. Que faire?
La police
On commencera par établir la règle primaire de l'attribution du monopole de la violence à des forces entrainées et armées, suffisamment contrôlées pour l'utilisation de cette violence ne soit possible et effective que dans des cas identifiés, tout en restant possible et effective en général. La force en question ne doit pas être militaire, c'est-à-dire employée pour faire la guerre, mais policière, c'est-à-dire employée pour faire la paix.
Par contre, l'aporie du maintien de la paix, matérialisée par les questions du refus d'obtempérer, de l'insulte outrageante répétée et de la violence envers les forces de l'ordre doit pouvoir être traitée, et donc, la violence employée éventuellement contre cela excusée, voire officiellement rendue possible.
La première des réformes sera donc ce que Mélanchon appelle "le permis de tuer", c'est-à-dire effectivement, l'attribution aux forces de l'ordre en mission d'utiliser des moyens pouvant infliger la mort pour maitriser ou arrêter des délinquants. Que l'on soit en possession d'armes à feu ou d'engins motorisés dangereux, on doit céder aux forces de l'ordre quitte à mettre sa vie en danger si on ne le fait pas. En cas d'"accident", le policier responsable dans le cadre d'une enquête où il sera présumé autorisé à avoir exercé une violence légitime et laissé en liberté, sera, hors violation manifeste et prouvée de règlements à établir, considéré a priori fondé à avoir agi comme il l'a fait, que ce soit pour protéger de blessures inacceptables lui ou le public. On rappellera que les progrès de la médecine d'urgence font que la mort directement provoquée par des actes de violence "ordinaires" est souvent évitée au "bénéfice" d'états prolongés ou définitifs d'handicaps variés au moins aussi destructeurs, voire plus pour soi même ou ses proches. Le nombre d'homicides reste stable, alors que celui des tentatives d'homicides explose (du simple au double). Une tentative d'homicide est un homicide raté du fait de l'habileté d'un urgentiste. La stabilité du nombre de meurtres réussis ne mesure que cette habileté qui masque l'augmentation effarante de la sauvagerie de la violence du quotidien irraisonnée et barbare et qui frappe n'importe qui.
Et puis cette stabilité est relative: meurtres et tentatives de meurtre, que l'on doit confondre ont augmenté de 54% entre 20218 et 2023 (source récente du ministère de l'intérieur).
Les deux cas fréquemment cités comme étant des "violences policières" avérées (le meurtre de Nahel, et la sodomie de Théo, célébrées par deux présidents de la République) ne le sont pas en fait, et auraient dû, après une brève enquête, être considérés comme des non-lieux évidents en faveur des policiers. La loi devra être modifiée pour cela, ce qui pourrait éviter de voir bien plus grave que les souffrances infligées à ces deux racailles perdues: les vies brisées des fonctionnaires emprisonnés et humiliés sans raison, à rebours des évidences et du bon sens, et au nom de la démagogie et de la lâcheté.
Les conséquences de ce changement s'étendront aux décisionnaires des actes de violence jugés nécessaires. Aux limites du maintien de la paix, il y a bien eu de la part de la hiérarchie policière, des ordres explicites de tir de LBD à hauteur de visage contre les manifestations des gilets jaunes, qui furent ainsi jugées plus menaçantes que les émeutes de juillet 2023, pourtant bien plus couteuses en incendies et autres destructions de biens publics. Ces émeutes n'entrainèrent sur ordre ni morts ni blessés graves à la hauteur des scandaleuses déprédations faites il est vrai au détriment de ces populations mêmes, laissées ainsi seules dans leurs ghettos dévastés. Elles auraient pourtant dû et on peut penser et dire calmement que pour éviter ou réduire le cout d'un milliard d'euros de ces émeutes, quelques morts n'auraient pas gêné. Que cela déclenche des affrontements à l'arme de guerre aurait permis de monter alors la température au-delà du maintien de la paix, quitte à passer directement au stade qui sera atteint un jour ou l'autre et qui ne pourra, à force d'être reporté à plus tard, que se manifester avec une dangerosité effective encore plus dévastatrice.
Sur cette base indéfectible et incontestable, bien des actions pourront alors être menées.
Les émeutiers
Il faut bien en parler. L'immigration africaine a rempli les banlieues d'individus surnuméraires incultes et violents, que leurs parents ou proches ne peuvent assumer et que les pouvoirs publics ne sont pas en mesure de pouvoir gérer avec les moyens dont ils disposent actuellement.
Un point d'histoire: les sociétés européennes (et française) des temps passés, avaient des classes pauvres dont une partie, violente et criminelle n'était gérée que par la cruauté de châtiments dont la violence était en rapport. Peine de mort, et traitements humains dégradants étaient appliqués sans états d'âmes à des milliers de gens jugés irréformables et qu'on maintenait dans un état de sujétion permanent. Ce n'est qu'avec l'évolution des moeurs, eux mêmes liés aux progrès des conditions économiques que le niveau de violence ordinaire dangereuse pour la société commença à baisser.
On en est venu à une culture commune consacrant des ressources importantes à l'exploitation de cette pacification générale des moeurs: éducation à des domaines variés, à la hauteur des comportement apaisés des populations concernées, aptes à se faire conduire par les disciplines nécessaires, elles mêmes de plus en plus en douces. Ces cercles vertueux de pacification, pour le bénéfice des enseignements et du développement des compétences culturelles, et techniques vont de part avec les capacités émotionnelles acquises de ces populations. Ce qu'on appelle la civilisation.
Et bien autant le dire, les populations arrivées en masse en France en provenance d'Afrique n'ont pas ce niveau et leur rassemblement en masse dans les zones géographiques prévues à cet effet conduit à la réintroduction sur notre sol des moeurs violents et sauvages dont nous étions sortis dans les deux siècles précédents. Pour maitriser les pratiques de masse par des jeunes gens du pillage collectif avec déprédations variées, il faudra des mesures énergiques.
D'abord, briser à l'occasion par la violence ces comportements en compromettant pour toujours le reste de la vie des pires d'entre eux, voire éventuellement de quelques innocents pris le tourbillon: morts ou condamnation définitive, avec renoncement explicite à toute rééducation, amendement ou excuse pour des comportements inacceptables. Ces comportements à refuser pourraient être l'appartenance à un gang violent ou la pratique de l'émeute (déprédation, violences contre les forces de l'ordre, pillage). Les prévenus simplement convaincus de ces actes devront être pris en charge à long terme, dans des parcours particuliers éducatifs ou pénitentiaires, mais traités autrement que comme des délinquants ordinaires pourvus d'une individualité respectable. Là encore il faudra introduire un risque particulier lié à la participation à certains types de délinquance, risque qui devra à un moment ou un autre devenir collectif. Les ennemis de la Nation appartiennent à une autre Nation, qui doit être considérée ennemie.
On pourrait imaginer des proclamations publiques de la part des forces de l'ordre quand à certains comportements inacceptables à prévoir lors de fêtes ou célébrations variées: l'annonce qu'ils se traduiront par des violences dangereuses en rapport. Le pillage de magasins par exemple ne peut être laissé à une foule déchainée et la force des armes doit être employée dans ces cas là.
Les prisons
D'abord une extension considérable des lieux d'enfermements. Vu la surpopulation carcérale actuelle, par ailleurs largement due aux obstacles opposés par les pays d'origine des expulsés, il convient d'organiser de manière systématique des camps où seraient concentrés ces expulsables, étrangers et autres moutons noirs de notre société à l'insécurité bien trop objet de sentiments négatifs. CRA, enfermements psychiatriques, établissement de jeunesse contraints : un goulag est à organiser en plus des prisons effectives à construire. Cela est nécessaire et obligé à défaut d'être réalisé. Une urgence. Ce n'est pas un plan de rénovation des cités délabrées mal entretenues par leurs habitants qu'il faut mener, c'est un plan de construction des nouvelles villes, pour y vivre des détentions forcées et pour les jeunes des éducations forcées. Cela de façon à restaurer sécurité et honnêteté dans ces cités.
Cela ne concerne pas que les délinquants: le nombre de sans domicile fixe explose et ne concerne plus les simples clochards et autres handicapés de la vie que tout société devrait pouvoir traiter humainement: 70% d'entre eux sont maintenant des migrants du tiers monde scandaleusement laissés à eux mêmes et qui saturent tous les bénévolats et toutes les aides, alimentation, transports, soins gratuits n'y suffisent pas et on trébuche dans les rues sur les corps inertes et puants de malheureux qu'on maintient en vie dans la misère au lieu de les interner tous dans des organisations raisonnables qui présiderait à leur expulsion.
La lutte contre les trafics
Puis les trafics de drogue, éléments essentiels de l'économie vivrière de cités défavorisées contrôlées par des gangs de jeunes et de moins jeunes qui restent peu nombreux, il faut le dire et le répéter, cela en regard de populations opprimées condamnées à un silence apeuré. Les persuader que la fermeté voire la dureté est nécessaire et effective contribuera à l'efficacité des mesures globales à prendre qui concernent policiers, juges, éducateurs et psychologues.
Car ces gens vivent dans la peur d'être jugés responsables de délation, le pire des crimes dans les "communautés" gangrenées par le caïdat pirate. Comment les rassurer ? Par l'éloignement définitifs des pirates, mais aussi par la violence humiliante exercée à l'encontre d'oppresseurs caractérisés qui doivent être identifiés et exclus de la société. La question est d'une certaine gravité: quand des populations se soumettent à une violence "légitimée" plutôt qu'une autre, elle choisit un mode de vie, celui du tiers monde misérable soumis aux gangsters ou celui des citoyens ordinaires d'un pays policé. Avoir peur de dénoncer son voisin trafiquant n'est pas acceptable et signe son appartenance à une zone non pas de "non droit", mais de "méchant droit". Ce n'est que par la force que de tels territoires, effectivement perdus par la République peuvent être reconquis.
Les ensembles d'habitations concernés doivent être cernés, isolés, examinés et traités globalement et nominalement. Les personnes devront justifier de leur mode et type de vie, les mineurs en danger identifiés et séparés de leurs habitats et familles pour être contraints à d'autres sortes de vies. Les délinquants identifiés devront être emprisonnés à la hauteur de leurs dangerosités manifestées et la récidive traduite en peines allongées, leur nombre ne pouvant dans leurs diverses catégories criminelles excéder des nombres à un chiffre. Encadrée et protégée la cité (ou zone d'habitation délimitée) devra exclure définitivement les personnes condamnées et éloignées qui ne pourront plus y vivre.
Il faut savoir qu'il existe des catégories de délinquants condamnés plusieurs dizaines de fois, et dont la liberté ne semble pas poser de problèmes aux juges qui consultent leurs dossiers, ni même au législateur incapable de traiter cette absurdité. Un voleur ou un criminel compulsif ne doit pas pouvoir vivre en liberté au-delà d'une certaine limite car la société doit pouvoir se protéger, c'est en gros l'esprit de la réforme, cela en passant outre des considérations morales trop individualisées. Il n'y a plus de justice quand celle ci consiste à soumettre à l'injustice qu'est le hasard des mauvaises rencontres évitables. Le risque acceptable d'être violé, détroussé ou molesté doit se voir limité. La récidive n'est pas la marque de la nocivité de la prison, mais de celle du délinquant.
On peut imaginer aussi une répression effective des clients de ces zones de vente par la criminalisation "injuste" de l'action d'y venir acheter des stupéfiants. L'idée serait d'édicter l'interdiction d'achat dans une certaine zone, avec affichage public de cette interdiction et organisation d'actions coup de poings à des dates imprévisibles, les personnes attrapées à cette occasion étant cruellement punies d'amendes insupportables à des hauteurs ruineuses, les familles des consommateurs ainsi punis étant mises à contribution. En bref, il convient de mettre sur l'internet la totalité de la consommation de stupéfiants. La suite au prochain numéro.
La Justice
Bien sûr, il y a la justice... Les condamnations des émeutiers traduits en justice en urgence sont absolument effrayantes: stages de citoyenneté, libérations immédiates, amendes symboliques, sursis. En masse. L'absence de violences policières à leur égard s'accompagne d'une absence de violences judiciaires en rapport.
Il faut considérer la génération de juges actuellement en fonction, majoritairement des femmes, et dont les opinions politiques et philosophiques seraient à évaluer pour en connaitre les conséquences sur l'état scandaleux des jugements prononcés à toutes occasions. Allons y pour les juges de gauche, qui voient dans les violences immigrées le résultat de la misère sociale, les juges de droite qui y voient la trace de mai 68, et ceux d'extrême gauche qui y voient l'effet de la masculinité toxique des policiers sur les virilités émergentes des racisés violentés au préalable. L'extrême droite elle n'est porteuse que d'un message: toute réduction de l'immigration en réduira mécaniquement les violences. Cette affirmation, plusieurs fois examinée par les diverses chambres est régulièrement jugée raciste, et la boucle est bouclée.
On se contentera ici de suggérer l'évidence: cette violence est une violence collective, en bande organisée, et le critère n'est pourtant presque jamais utilisé, l'individualisation des peines et des jugements restant la règle. La violence des émeutes et autre rébellion contre les forces de l'ordre est pourtant collective et doit être considérée et punie comme telle. L'appartenance à un groupe violent réelle ou manifeste doit être un critère aggravant systématiquement la répression, qu'elle soit policière (se défendre contre un assaut collectif doit autoriser d'infliger des blessures graves, y compris par usage des armes) ou judiciaire (les gangs et bandes identifiées doivent pouvoir être emprisonnées collectivement, la simple appartenance à l'une d'elle suffisant à inculper).
Un élément de loi anti-casseur des années 70, supprimée par le socialisme mitterandien, était précisément ce critère d'attribution collective des délits (la "responsabilité solidaire") qui permettait de collectiviser les pillages et autre déprédations impossibles à réprimer. Il faut rétablir ou instaurer cela à tout prix et le plus vite possible.
L'islamisme
Passons à l'islamisme. On renverra à la description différenciée de l'islamisme fait ailleurs (1) et aussi celle des tactiques fréristes, seules à considérer gravement. On rappelle que ces tactiques ont explicitement et publiquement pour objet de subvertir les pratiques sociales des populations musulmanes et aussi de forcer le reste des populations à se convertir à terme, l'application complète du projet musulman sunnite qui est précisément celui là, étant à l'ordre du jour. Théorisé et écrit, le projet frériste, dont l'objet ne se distingue en rien par les pratiques et les idées, de l'idéal d'un islam universel appliqué partout où vivent les musulmans se distingue des projets politiques en cours dans nos société par sa rupture radicale d'avec le modèle dit démocratique et républicain en vigueur en France: il considère que les lois sont issus d'une révélation divine objet d'une religion particulière et non pas de la libre discussion des hommes entre eux. A ce titre ce projet doit être considéré ennemi de la société et explicitement combattu.
Le rôle des rapports sur l'organisation frériste et ses intentions et de persuader, si cela est possible, l'opinion publique, et de lui rendre acceptable la mise en branle de politiques coordonnées. Avant de déclare cela réalisé, il y a de bonnes chances, voire une quasi certitude que cela n'arrive pas, il convient de dire ce qu'on pourrait faire.
D'abord, déclarer et reconnaitre le caractère "terroriste" de l'organisation des frères musulmans et donc de rompre officiellement et définitivement avec toute l'indulgence qu'elle a suscité depuis deux décennies auprés des élites françaises. Cela aura un cout assez lourd, avec des conséquences extérieures et intérieures.
Les conséquences extérieures, défiées par les adresses du président Macron auprès de pays musulmans qu'on voulait persuader qu'on n'était pas devenu islamophobe du fait de la publication du rapport sur les frères musulmans, sont la rupture des relations avec la Qatar, investisseur et pas que, dans le football. Tant que les Rafales n'auront pas à être remboursés on peut y aller. Les relations avec la Turquie devraient se tendre, également, et cela devra être assumé, au point de demander à ce qu'on réforme l'OTAN, la présence du pays en question n'étant plus souhaitée, à défaut de toute coopération militaire avec lui, que l'on peut et doit désormais refuser.
Les conséquence intérieures sont la fermeture de centaines de mosquées, d'associations diverses, un coup de poing sur la table au conseil européen pour exiger la dissolution du CCIE (qui succède en Belgique au CCIF) et la suppression de toutes les campagnes des vingt associations fréristes qui hantent les couloirs bruxellois. Et puis bien sûr la dissolution de MF, et la fermeture des lycées Averroes et Al Kindi et des autres, cela malgré le conseil d'Etat dont il faudra changer le président dans l'urgence et sans doute une bonne part des juges. Car c'est bien l'ordre exécutif qui doit prendre en charge la destruction d'un complot fasciste affectant la sécurité de l'Etat en se glissant tel le coucou dans l'ordre institutionnel. Ceux qui s'en réclament perdent ainsi et ce par là même, le droit à être protégé par la société. Tout ce qui se réfère aux frérisme devra donc disparaitre et la justice n'y pourra rien: inéligibilité, incapacité à faire agir le droit, le frérisme deviendra un nazisme de réputation et n'aura plus le droit d'exister. L'appartenance à la mouvance devrait suffire au refus de tous les emplois publics y compris la conduite des bus ou le jardinage municipal.
Il faut comprendre que l'on se débarrassera alors des deux aspects extraordinairement dangereux du frérisme: son entrisme dans les institutions et son entrisme parmi les musulmans eux mêmes.
Cela fait du pain sur la planche, mais se trouve nécessaire, voire indispensable. Au boulot et ce n'est pas fini. Le buzz médiatique lié à l'élection bruyante de Bruno Retailleau à la présidence des LR inaugure la campagne présidentielle mais va bientôt disparaitre pour être remplacé par le buzz d'après. Laissera-t-il une trace durable ?
Bien sûr que non, car une autre nécessité se fait jour et il faudra bien la considérer: il faut s'en prendre à l'islam lui même et révolutionner notre attitude envers les moeurs musulmans, qu'ils soient le fait des familles des criminels et des émeutiers ou ceux des complotistes fréristes, à la manoeuvre pour les imposer partout: ces populations étrangères se sentent régies par des lois qui ne sont celles du territoire qu'ils occupent et il faut changer leur avis là dessus.
Car il faut comprendre que l'"opinion" de ces populations est qu'elles ne peuvent accorder vraiment leur loyauté qu'envers les dépositaires d'une loi religieuse dont les premiers éléments sont hélas déjà là, on les a laissé s'installer et ils font l'objet de pratiques massives. Ils sont cinq: le port du voile, les interdits alimentaires, le jeune annuel, la circoncision, le politique religieux. Et bien il va falloir envisager de rendre impossible de pratiquer publiquement les 5 choses, pour lesquelles des lois devraient être changées:
- le port du voile doit être interdit lors de toute transaction avec des institutions publiques, depuis l'université jusqu'à la consommation de services public d'Etat ou sociaux, et cela jusqu'à l'hopital. Les entreprises devraient pouvoir à discrétion empêcher son port durant les horaires de travail.
- les interdits alimentaires se traduisent d'abord par le marché hallal, facteur majeur de séparation des populations, objets de trafics et de corruption variées, et surtout raison d'une généralisation de pratiques d'abbatages à interdire qui induisent des souffrances animales doublées de risques sanitaires documentés. Les organismes publics scolaires ou hospitaliers se doivent ainsi de proscrire la pratique de ces type d'alimentation.
- la pratique du ramadan, jeune diurne soustrait à l'entreprise le salarié pendant l'exécution du contrat de travail, il pourrait être une cause de rupture de celui-ci, à la discrétion de l'entreprise ou du service médico social, en charge d'évaluer l'effort physique correspondant (déshydratation, maladie etc).
- la circoncision, comme mutilation sur mineur garçon ne pourra plus être pratiquée que par des médecins volontaires et non plus par des religieux non formés, sans être bien sûr un service public ou un droit. Son équivalent féminin, strictement prohibé devra être considéré comme un crime, entrainant l'expulsion et/ou l'emprisonnement des parents.
- les listes de candidats à des élections ne peuvent se prévaloir de l'appartenance à une religion, le suffrage se devant d'être individuel. Il convient de rendre illégal de telles candidatures et aussi de refuser d'associer expression d'opinions et appartenance religieuse. Les propagandes politiques, par exemple les appels à manifester en faveur de Gaza, ne doivent pas pouvoir être émises à l'occasion de prêches religieux. De telles propagandes du fait d'étrangers doivent entrainer leur expulsion, en plus des propos antisémites ou appelant à la violence, que les paroles correspondantes soient issus des traditions religieuses ou non.
L'objet explicite de ces restrictions, non pas à la liberté religieuse, mais à la pratique socialisée de coutumes incompatibles avec la vie dans le monde occidental, est de réduire l'emprise sociale de religions régressives sur les populations vivant en France, et aussi de pousser au départ les personnes qui y seraient excessivement attachées. Les autres peuvent bien croire à ce qu'elles veulent pourvu que cela reste strictement invisible et privé, comme c'est le cas pour toutes les autres croyances, y compris les non croyances, qu'il convient de respecter et elles sont majoritaires. L'exhibition permanente d'interdits, et d'obligations diverses est une facteur d'irritation et de discrimination qu'il n'est plus tolérable de tolérer.
Le chemin est tracé, il faut s'y engager. On réiterera ici notre hostilité radicale à des modes de vie imbéciles régis par des traditions stupides et inhumaines qui n'obligent à rien d'utile ou de souhaitable et qui ne sont que les contraintes abominables que des barbares imposent à des humains qu'il convient de libérer de l'ignoble, présent et futur.
(1) http://francoiscarmignola.hautetfort.com/archive/2025/05/23/les-entrismes-islamiques-6549157.html