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Un commentaire à Thaïs d'Escufon

Séduit par (1), je bave en tout bien tout honneur en déplorant ce que je pense être une dérive moderne, les théories "évolutionnistes" en matière de sexe me gonflant un peu.

Thaïs nous parle donc de l'"hypergamie": 

La fameuse "tendance" n'en est peut-être pas une, et peut dépendre des époques, des milieux, des cultures. C'est tout le problème des fameuses théories "évolutionnistes" auxquelles se rattache le point de vue ici décrit. La meilleure preuve est que la "nature" décrite ici par Thaïs n'est pas "universelle", sinon Thaïs serait elle même aussi superficielle et hypergamique que ce qu'elle décrit, ce qui n'est bien sûr pas le cas. Toute la question est donc d'évaluer le côté quantitatif de la chose et aussi de comparer les natures, ce que fait finalement Thaïs en parlant des "bonnes" femmes, bref, l'hypergamie est-elle "naturelle" ou pas ?


Quelques pistes: la fameuse expression "toutes les femmes sont des putes" est en fait une variante de "toutes les femmes sont hypergamiques". Dommage et effectivement, la tendance ne doit pas être généralisée bien sûr. La chose est toutefois connue depuis longtemps, et se trouve aussi avoir des avantages pour les hommes, toute situation asymétrique (et la différence sexuelle en est une ) pouvant être exploitée de manière avantageusement réciproque. La question est alors de pouvoir établir des échanges lucides dans toutes les situations, la question se ramenant à la perception et au traitement de l'information dans les rapports humains en général. Ceux-ci peuvent-ils être durablement perturbés à certaines époques par certaines pratiques culturelles ? Cela est certain.
 
Par exemple, il est indubitable que certaines conceptions "féministes" qui semblent répandues à l'identique dans des larges sous groupes de la population féminine pourraient bien constituer en fait de véritables pathologies, cela très au-delà des caractéristiques biologisantes décrites ici.
Les croyances absurdes sont légion, comme celles du patriarcat, de l'exploitation salariale des femmes, du caractère pacificateur des femmes, de l'occultation du clitoris ou pire du point G, de la nécessaire parité des emplois; cela sans parler des mythes fondateurs du prince charmant et de la corrélation entre taille du pénis et la taille tout court, sont ancrées chez bien des femmes. Bien que faisant partie des "croyances sexuées" elles-mêmes variables selon les cultures, elles sont bien trop répandues à notre époque et au même titre que l'astrologie, colorent nos cultures.
Je terminerai cet exercice d'héroïque masculinisme en remettant en cause fondamentalement l'égalité homme femme telle qu'acceptée à notre époque: suspectée et à raison de "fricoter avec les curés", et interdites de vote pour cela jusqu'à assez tard en France, les femmes ont maintenant remplacé le confessionnal par le féminisme niais et il va falloir, pour le bien de la reproduction de l'espèce, les purger de cette vérole-là.
J'engage donc tous les hommes les vrais, à manifester avec hauteur et explicitement leur mépris macho pour ces stupidités et priver de zizi toutes les femelles qui en sont affectées. J'avoue que l'entreprise est pénible, mais l'internet est un soulagement. Courage !

 

(1) vidéo de Thaïs d'Escufon: https://www.youtube.com/watch?v=l6PcVTHQxQw

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