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Les hommes futurs

À l'occasion de considérations sur les féminismes, un certain nombre d'affirmations, parait-il tirées d'"études" caractérisant les différences observées entre hommes et femmes. 

L'idée est bien sur de détruire à la racine les mythologies débiles qui animent les discours communs c'est-à-dire les concepts de "féminisme" (idéologie mettant en avant les femmes) et donc de patriarcat, soit le complot masculin pour asservir les femmes, la forme manifeste du complot étant la spoliation du bifstek des petites filles ce qui les a condamnées à rester petites. Défendu par Françoise Héritier elle-même, cette théorie débile continue de marquer la haine féroce qui anime les con(ne)s envers la gent masculine maudite. 

Les études, les études. On opposera les comportements "statistiquement". Répartis en tendances, les deux catégories du masculin et du féminin, tel qu'observées enfant se répartissent en nuages de formes différentes. 

L'intelligence par exemple, en moyenne égale entre les deux sexes n'est pas répartie de la même manière, l'intelligence nulle et aussi extrême seraient ainsi plus fréquentes chez les mâles, alors que la moyenne honnête est plus répandue chez la femelle. Nulle essentialisation autre que statistique, les 3 interprétations des probabilités étant ici à l'oeuvre: 

1) propention : il existe une tendance, une coupable tentation permanente à

2) fréquentisme: il suffit de tirer au hasard, et on aura plus de paires de nichons là que là

3) bayesianisme :  en fonction de ce qu'on suppose au départ, on aura confirmation ou non en étudiant davantage

Ainsi donc, il y a une différence non essentielle dont on ne peut rien tirer sinon qu'il faut cesser de se faire du mal en voulant contredire par une mécanique inutile des réalités dont tout le monde profite. Qu'importe que l'exceptionnel soit assuré majoritairement par des hommes, cela assure à la moyenne féminine davantage de temps pour parer à plus commun, mais finalement peut être plus essentiel au sens d'indispensable. 

Pour confirmer la chose, les caractères mimétiques/systémiques des comportements, davantage tirés par le consensus chez les femelles, par le dissensus chez les mâles: du fait de la compétition sexuelle commune avec bien des espèces, les tendances globales de comportement sont davantage (là encore, point d'essentialisation) tournées vers la violence et la contradiction chez les mâles que les femelles. Ces spécialisations-là caractérisent les différents rôles que les deux sexes occuppent "préférentiellement" dans la société. Là encore, point besoin de mécaniser une abolition de ces différences résultantes, somme toute naturelles et violées en tendance de par les statistiques, et cela, suffisamment pour s'accommoder des variances. Il suffit donc de donner accès aux stages commando marines aux femmes mais surtout sans quotas ni baisse de niveau ! 

On passera ensuite sur l'inverse du complot masculin, inversion des valeurs supporté avec une soumission coupable par les queues plates : le fameux plafond de verre, en fait l'éclatante domination des pires lieux communs, supportés avec suavité et hypocrisie y compris par l'élite intellectuelle féminine, qui se déshonore ainsi sans réaliser le mépris des jeunes hommes contre la tendance, toute entière tournée par la sauvegarde femelle de sa période post ménopause, deuxième source d'angoisse fondamentale du sexe féminin après la stérilité.

La chose est dite: toute discrimination positive doit être abolie et la chose doit être revendiquée avec agressivité par les mâles, dont le rôle social doit être plus affirmé, en particulier envers cette lèpre des grognasses qu'est l' immonde féministoïdalitée, à moquer avec l'obscénité la plus franche. Bouge ton gros cul de là, parité !  

 

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