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Les pertes de confiance

"Nous" avons perdu confiance en ce sens commun, en ce narratif consensuel sympathique qui se voulait expliquer le monde et guider par la vérité partagée le peuple vers le mieux. La rupture est consommée, ce que vous dites est faux, vous mentez, à nous, à vous même, en général, ou plutôt, vous dites des bêtises, les certitudes qui vous ont peu à peu animées étant bidons, vous vous êtes mis à délirer. Qui êtes-vous ? 

L'accusation est clivante, et identifie des parties qui maintenant commencent à se haïr, en fait à ne plus s'accorder le crédit de présenter des opinions, mais à ne toujours voir en l'autre qu'un ennemi à la manoeuvre, poursuivant des buts agressifs délibérés en niant toute volonté d'accord. L'ennemi doit être réduit et forcé, et en attendant, pas de compromis ni en pensée ni en paroles, on commence à rêver de la disparition de l'autre. 

On commencera par une exemple "allogène" en ce qu'il concerne des pays étrangers, engagés dans le même type d'interaction même s'il fait l'objet d'une déclaration de "notre part" (le président Macron a condamné "ce qui faisait de la nourriture une arme"). Le retrait de la Russie de l'accord sur les céréales conclu l'année dernière du fait patent et objectif que la partie non Russe de l'accord autorisait en échange des couloirs de transit en mer noire des céréales ukrainiennes l'accès aux marchés mondiaux des engrais et céréales russes, ce qui supposait donc (tout est dans le donc) un accès à Swift pour ces marchés, et le transit de l'ammoniac russe en territoire ukrainien (le pipeline fut saboté), concessions aux sanctions contre la Russie qui ne furent jamais appliquées. 

Haine et clivage total : un accord signé non appliqué par la partie qui dénonce comme un crime le retrait de l'autre partie après un an de non application délibérée, la justification morale de l'accord étant qu'il alimentait un tiers monde nécessiteux, la hausse des prix des céréales devant être jugulée. 

Nous avons là tous les ingrédients de la pratique délibérée de l'alimentation de la guerre totale, l'adversaire étant diabolisé au point qu'on le considère obligé de pratiquer des échanges en sa défaveur. La position est morale qui plus est: les besoins alimentaires du tiers monde doivent être satisfaits, donc il faut à tout prix les satisfaire, donc ils doivent l'être sans contre parties  et en exiger est immoral. Comme de plus, les sanctions que l'on voulait voir levées étant elles morales car comme elles sont sanctions, justes punitions contre l'immoralité, ce serait bien les lever qui aurait été immoral. On a donc conclu un accord dont on considère immoral d'appliquer les clauses. Encore mieux: malgré cela, suspendre l'accord après l'avoir pratiqué sans contre parties pendant un an devient absolument condamnable. 

On notera la parenté avec les accords de Minsk: un accord de paix satisfaisant des égos attachés à une communication humaniste, accords qu'on n'a pas l'intention d'appliquer et qui violés par la violence en retour suscitent d'autant plus la condamnation, qui plus moraliste.

Ce mécanisme et cette attitude sont de mon point de vue absolument inacceptables. Du point de vue du respect de soi, et comme dévoiement de toute attitude morale, il traduit ce qu'on appelle la "mauvaise foi", au nom d'un soutien exclusif de son propre ego, l'arraisonnement en sa faveur de la morale. Seul dépositaire du bien, j'en juge et mon jugement, exclusivement mené à mon avantage, s'en trouve donc justifié. 

Bien sûr, quand par ailleurs on exprime publiquement des jugements moraux défavorables en faveur de l'autre partie, il est clair que l'impossibilité de tout accord est en fait déjà actée. La signature de cet accord  eut d'ailleurs lieu deux fois, chaque partie (Ukraine et Russie) ayant signé séparément auprès d'un intermédiaire (la Turquie). Dès ce moment l'accord n'est que cérémonie dilatoire, là encore acte de guerre en soi, et toujours interaction dans le cadre d'une guerre totale destinée comme toute guerre "morale" menée par le camp du bien à écraser complètement l'adversaire.

Ce qu'on appelle l'Occident semble ainsi mu par ce désir très 1918/1945 de mener une refondation du monde à son avantage sur la base d'un écrasement de l'adversaire (l'Allemagne dans les deux cas). On pourrait ajouter 2023, la destruction des NordStream étant remise en cause similaire de la dernière grande stratégie de la puissance centrale, ce qui la ramène encore une fois à zéro...  On ne se lassera pas de puiser dans les motivations des acteurs de ces époques les raisons de notre malheur d'aujourd'hui, initié sans remède depuis longtemps. 

Quelle confiance accorder en des prescripteurs  moraux de faux culteries aussi dérisoires quand on réalise que le cynisme auquel nous nous joignons fait de nous-mêmes des victimes de cette dévotion pour le culte de la force ? 

Le blé extrait des ports ukrainiens avait surtout pour objet d'être vendu sur les marchés internationaux qui n'ont bien sûr cure de l'Afrique qu'à condition que celle-ci en achète. Totalement dépendant de subsides variés et donc des niveaux de prix le blé n'y va que s'il est peu cher. L'accord avait donc pour objet de garnir les finances des propriétaires des grains, ukrainiens ou américains, les céréales produites générant taxes et/ou rentes pour les "propriétaires". Et puis, le trafic permettait de masquer des opérations militaires maritimes, comment les Russes ont-ils pu accepter cela un an ? 

Dès le moment où on invoque la morale là-dedans, on se trouve acculé au ridicule car au sourire narquois de celui qui n'utilise l'argument qu'à condition que tout le monde ait compris qu'en état de guerre, il n'y a pas à se restreindre, ni de la violence, ni de la revendication du bien, assumée par cette violence même. Dans quel camp êtes-vous ? 

Le monde d'où je viens était d'abord passionné de paix civile considérée dans tous les cas comme l'état premier à accéder en toutes circonstances: sans empêchement des violences militaires, collectives, verbales rien ne peut être fait. Pour cela, d'abord considérer les pourparlers, basés explicitement sur la volonté de paix et donc de satisfaction des intérêts mutuels reconnus valides à priori. Neu neu mais souvent efficace, par delà tous les cynismes rapides des manipulations et violences d'avant la paix convenue, l'attitude est de principe et se trouve justificaiton de deux choses importantes: la revendication valorisante impossible à contredire du mieux pacifique d'une part, la non participation au conflit d'autre part, la volonté systématique de n'aider qu'à la paix justifiant le premier point. Militer en tant qu'occidental en faveur de cette attitude là était le point fixe de la fin du XXème siècle, malgré toutes les violations implicites et explicites du principe. Revendiqué par les uns ou par les autres, il était le principe, violé mais intangible. 

Fracassé par la seconde intervention en Irak (la première s'en réclama pour retirer les troupes dés le Koweit libéré), le principe (défendu par Chirac et Villepin) ne fut ensuite que serpillère et répétition indéfinie de l'échec vietnamien: interventions prolongées dans les vies des Etats au nom d'une lutte vaincue d'avance contre un mal non maitrisé. Imposition cynique et impuissante d'une force sans objet. 

Me voilà donc "propoutine". 

Hélas, cela ne marche pas tout à fait. D'abord, on le voit bien, ces actes là sont au service d'un Occident en deux parties dont l'une est comme on dit "au-dessus" ou "en position dominante" : les USA, vendeurs des biens soustraits par les embargos moralistes et dirigeant de souffrances matérielles éloignées de leur territoire, manifestent envers leurs alliés exactement cette stratégie qu'on peut considérer "cynique" au sens usuel. Domination par force, hypocrisie moraliste et exigences associées. L'Occident britannique de la fin du XIXème siècle qui se dressa contre la Russie, la Chine et l'Allemagne après avoir définitivement triomphé de la France, a laissé la place.

Vainqueur du communisme, le capitalisme américain a triomphé militairement mais bien plus que militairement: il a convaincu ses alliés, qu'il avait mobilisé 50 ans, de devenir américains. Il faut bien comprendre que ce soft power là, un temps compensé par les maisons de la culture communistes de nos banlieues rouges 

On pourrait parler "souverainisme" mais cela est bien sûr ridicule et dérisoire: quelles identités, quelles civilisations natives voulez vous défendre, voire restaurer ? Des ploucs français dansent du folklore western afin de se conformer à l'imperium civilisationnel qui rend ce ringardisme provincial là immune au mépris des hautes classes. Car celles-ci bougent sur des danses similaires, allant même jusqu'à épouser le gout des hautes classes américaines pour les très frelatées cris de révoltes (contre la police) des gangsters noirs issus d'un esclavage et d'un racisme qui n'ont jamais existé en France. L'important est de ressembler au spectacle en cours sur le vaisseau "mère": les planètes satellisées d'un Occident exclusivement réduites à un seul être font des efforts désespérés pour encore mieux y ressembler. Jusqu'à l'abjection.

Car le "nous" dont je parle et qui perdrait confiance, il est bien réduit. Le seul "nous" qui vaille encore dans nos sociétés de la veille Europe détruite par le XXème siècle dans lequel elle s'est consumée, est en fait indifférent. Sauf à imaginer qu'une grande passion se réveille, ce qui rien, absolument rien ne montre que cela puisse arriver, on ne voit que silence, et attente de la suite qui ne se fera pas à son avantage, donc. Bien sûr, cette plongée suicidiaire vers le néant peut être considéré comme un élément de révolte, les indiens d'Amérique, frappés de mélancolie, se laissèrent mourir de chagrin et on les remplaça par des esclaves. 

Il y eut les "spiritualistes", souvent Français, de Saint Exupéry à Bernanos, tous contre les robots et qu'on cherche à recycler pour lutter contre les techniques informatiques américaines. Il y eut les nazis, mais bon. 

La thèse sera donc que le "discours" commun n'est pas digne (de confiance), que cela celui de nos dirigeants ralliés ou de nos alliés dominateurs. Il est à la fois cynique et destructeur de nous-mêmes, la confiance mal placée qui nous anime encore a pour conséquence directe de nous asservir et de nous anihiler. 

On évoquera le grand acquis de notre modernité, inventé au XVIIème siècle: le discours de vérité objectivant, ou le système rationnel d'acquisition des connaissances dans tous les domaines. Il fut immédiatement technique et utilisé pour tuer et mesurer la longitude mais nécessita jusqu'à la bombe atomique des discours internationalistes entre savants passionnés surtout de polémique. Les consensus ne furent obtenus que par la mort de leurs contempteurs, Einstein compris et cette guerre mondiale là fut incroyablement féconde. Imitée par ce qui ne concerne que le développement logiciel, l'Open Source, cette communion là continue pourtant, par-delà la fin de la science du XXème siècle, et cela malgré (heureusement ce fut possible) le boson de Higgs, qui la clotura. 

La bombe atomique termina la chose: une arme suprême était possible et tout se referma, au service de l'Amérique, et heureusement et malheureusement c'est selon, du fait des idéaux socialisants de certains traitres, de l'URSS. 

Bien sur la chose était découvrable et les Français y arrivèrent et aussi les Chinois, qui ne durent pas être beaucoup aidés. On en est à la Corée du Nord... Cette science là inaugura la destruction involontaire du monde, qui marqua les esprits. 

Cette belle science est maintenant dévoyée. Par les écologistes qui nous privèrent d'une source d'électricité et d'une science des plantes, par les laboratoires pharmaceutiques qui ont pris le contrôle de la médecine, réduite à la chimie et à la radiologie, par la sociologie imbécile aujourd'hui réduite aux publicitaires et autres manipulateurs d'opinions.

Dans tous ces mondes ne règne que le scientisme, qui est le contraire de la science et qui est une instrumentalisation bestiale des symboles et des procédés scientifiques au bénéfice des intérêts matériels de groupes de dominants qui se pensent initiateurs collectifs et qui ne sont que des familles de féodaux rapaces. 

Scientisme c'est à dire prétention à la vérité absolue de choses qui ne peuvent être que provisoires et collectivement disputées, intérêts matériels privés, c'est à dire confiscation des profits et gestion de la corruption. 

L'Ecologie depuis ses origines mystico-exotiques (Steiner, Blatavsky) est d'abord supercherie et torsion du réel au bénéfice de gourous qui se partagent les profits extorqués aux crédules magnétisés. Derrière et devant: fortunes basées sur des produits exotiques (gel de douche du cap horn), fausses prétentions aux qualités suprêmes (bio), corruption généralisée des maires des communes ventées (éoliennes), partis charnières aux prétentions exhorbitantes, et bien sur prédations sexuelles, un gourou sans bite ne peut convaincre. Ce discours est maintenant omniprésent, et absolument vainqueur. Nous avons dépensé pour rien 100 milliards d'euros pour des éoliennes dont nous n'avions pas besoin. 

Après la ruine du nucléaire et son redémarrage démagogique effectif prévu pour dans dix ans, redémarrage conçu comme une bonne nouvelle, rattrappant vingt ans de destructions systématiques qui ont fait perdre vingt ans sans que nul ne soit ni puni ni même blâmé, le décideur de l'arrêt d'Astrid étant glorieusement réélu pratiquement sur le thème. Parmi les destruction, un accord "pro européen" passé avec l'Allemagne dont tout montre qu'il fut délibérément pris pour détruire EDF, destruction achevée avec succés après la nationalisation de la vache à lait, indispensable à l'éclairage des habitations françaises. La vieille boche qu'on trouvait sympa a avoué que Minsk avait pour objet de niquer la Russie, avouera-t-elle depuis son Ehpad que l'accord tarifaire électrique européen avait pour objet de niquer la France ? 

La destruction de l'agriculture est à l'avenant, les stupides sanctions de 2014 ayant gravement porté préjudice aux exportations agricoles françaises. Toutes ces destructions, tous ces gaspillages imbéciles furent décidées hors toute politique véritable, hors du bon sens, hors toute annonce et hors toute argumentation: pour rien. Formés et intelligents, des décideurs, des chefs d'entreprise, des hauts fonctionnaires et les journalistes qui commentaient leurs décisions se sont ligués pour la ruine du pays, tous d'accord pour l'absurde, le ruineux, le suicidaire. 

Puis vint un virus. On le géra suivant les seules méthodes et techniques disponibles: celles de la communication de crise et de la publicité. A l'occasion, des conceptions de ce que sont la sciences et ses méthodes furent affirmées contre tout ce que les traditions philosophiques et scientifiques les plus connues avaient enseignées depuis des siècles. On nous parla de vérité, de consensus, et de la moralité qui devait se manifester à les suivre. Le contraire exact de toute l'éthique intellectuelle présidant à l'élaboration des connaissances depuis le moyen âge. 

La science est le lieu de la vérité provisoire, de la dispute et du devoir de s'opposer aux préjugés courants. Le contraire, non seulement de ce que l'Etat devenu "sanitaire" affirma journellement en semant la terreur avec des annonces de mortalités déraisonnables (qui ne différenciaient pas des personnes ordinaires les comorbides et vieillards seuls concernés ) et aussi ce qu'affirmaient tous les faux experts depuis les chefs de service terrorisés par leurs responsabilités (on leur envoyait des milliers d'asphyxiés tenus jusque là sans soins chez eux) et les petits scientistes aculturés répétant ce que leur disaient les journaux scientifiques responsabilisés. 

On lyncha publiquement le seul qui s'opposa avec raison à tout cela, responable en plus de l'administration de soins qui firent merveille: il sauva 600 personnes, ses adversaires déchainés auraient pu en faisant leur travail en sauver des milliers. Qui aura confiance désormais envers des profs de médecine fatigués, murés dans leur spécialités, payés par Pfizer et dont on sait qu'ils ont chié deux ans sur Raoult au lieu de l'imiter ? 

Car ces gens ne servent plus à rien sinon à lire les photos de leurs radios ultra chères que les subventions des labos dont ils prescrivent les drogues leur ont permis d'acheter, en plus de leurs vacances. Leurs recherches ? Mettre leurs malades à disposition de ces même labos, en charge de tester les drogues et les critères d'attributions dument disponibles sur des bases de données revendues dans le monde entier. Quand on pense qu'ils ne passent plus leur temps qu'à conseiller de manger moins... 

En parlant de communication, nous avons eu affaire en 2023 à un festival qui a du causer bien des satisfactions aux heureux réélecteurs du président actuel qui n'avaient pas mesuré l'étendue du désastre en cours dont ils sont codécisionnaires, au nom de la lutte contre l'extrême droate. Après une réforme refusée majoritairement, obtenue aux forceps, on décida de 100 jours d'apaisement à peine perturbés par des émeutes insensées qui firent vibrer  bien des territoires: 1 milliard de dégâts et 1000 batiments publics attaqués aux cris de mort à la France et à ses flics, sans un coup de feu de tiré de la part des pandores. On conclut par l'évidence: "la France a toujours été un pays d'immigration et le restera" et on se finit par "on peut être fier de ce qu'on a accompli collectivement ces derniers mois". 

Au plus haut de ses flux entrants, l'immigration se consolide, voire explose et la répartition partout sur le territoire de populations misérables islamisées et revendicatrices, aidée par tout ce que qui reste de l'éthique chrétienne désormais entièrement consacrée à sa vengeance contre la généralisation de l'athéisme, consume le vérolage complet du pays, qui reste toujours sans réactions, ni verbales ni physiques. Une suggestion pessimiste: l'abandon par notre civilisation progressiste de ses fondamentaux volontaristes est tel qu'il faudra une effective plongée dans le malheur pour que la réaction ait lieu; pour l'instant, le niveau de subventions est bien trop fort et on s'habitue à tout. Le discours officiel est, on l'a vu, absolument conciliant: la créolisation, ça se gère avec prudence. Le déni, à la hauteur des fameux "kevin et mathéo" inculpés en grand nombre lors des émeutes (qui sont donc non raciales) est stratosphérique et que dire? Ils ont gagné, le ministre de l'intérieur a pour prénom Moussa. On va finir par comprendre la haine que suscitent les flics.

Haine partiellement encouragée juste avant les émeutes par un président qui considéra avant tout examen des choses que la mort du "petit Nahel" (périphrase associée au "petit ange" évoqué par Kilian Mbappé, pour désigner une racaille mineure à moitié démente sous injonction de justice à se modérer qui au volant d'un bolide, fuit un pistolet braqué sur lui) était "inexcusable" et "injustifiable". Lachez les chevaux ! Comme pour mieux armer les bras des pillards, on se tut une minute à l'Assemblée à la mémoire du petit taré, de sa famille (une mère hystérique qui célébra la mort de son rejeton comme une arrivée de la route du Rhum) et bien sur de ses proches, qui partout en France allèrent refuser d'obtempérer. 

Les présidents de la République et de l'Assemblée Nationale présidèrent donc à la destruction partielle physique de leur pays après celle de son honneur. De quoi susciter ce que j'évoquais au début: le mépris et le dégout qu'inspirent ces tarés est excessif. 

 

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