Les fécondités
Il ne faut pas confondre taux de fécondité et indicateur conjoncturel de fécondité...
La confusion permet aux immigrationnistes de truquer la réalité et d'expliquer aux parents d'élèves qu'ils sont de sales racistes quand ils comptent les visages africains sur les photos de classes de leurs chères têtes blondes.
taux de fécondité
Un taux de fécondité permet de calculer un nombre d'enfants. On multiplie le taux (un pourcentage) par le nombre de femmes et on obtient un nombre d'enfants. Facile.
À partir de là, pour estimer le nombre d'enfants africains dans les classes (d'école, pas d'âge) en proportion des gaulois, on multiplie les taux de fécondité par les proportions respectives de femmes et on divise par le nombre total d'enfants.
En supposant les fécondités égales et avec 10% d'immigrés, on trouve: f * 10 / ( f * (10 + 90)) = 10%
En supposant la fécondité immigrée supérieure, disons 2,5 enfants par femme, on trouve: 12,5%
Pas de quoi fouetter un chat.
Le problème est que le calcul est totalement FAUX.
indicateur conjoncturel de fécondité
En démographie, science attachée au réel, on prend en compte le réel d'une manière plus réaliste et on calcule dans une unité similaire à celle du taux de fécondité (un "nombre d'enfants par femme") un "indicateur conjoncturel de fécondité" qui prend en compte la répartition par âge des populations féminines.
Celui-ci est calculé de la manière suivante.
On divise la population féminine en classes d'âge (f1, f2), et on compte les naissances dans chaque classe (n1,n2) lors d'une année. En supposant que chaque femme vivante aura autant d'enfants dans sa vie que si lors de son passage (temporel) parmi les différentes classes d'âges, elle avait la même fécondité que cette année-là dans les différentes classes d'âge présentes cette année-là, on calcule alors un taux de fécondité.
Un rapide calcul montre que ce taux est : n1*(f1 *f2) + n2* (f1+ f2) / (f1 + f2) = n1+ n2
L'indicateur conjoncturel de fécondité est la somme des taux de fécondité de chaque classe d'âge.
Bien sûr entre 15 et 25 ans, une femme n'a pas tous les enfants qu'elle aura au cours de toute sa vie. Le taux de fécondité d'une classe d'âge de faible amplitude à un âge faible est donc inférieur au taux de fécondité de toute la vie, mesuré précisément par l'"indicateur conjoncturel de fécondité".
À partir de là, deux populations féminines sur un sol, par exemple une africaine et une gauloise peuvent se différencier, non seulement par leurs nombres respectifs mais aussi par leur répartition en classes d'âge.
Et bien il se trouve que si (par bonheur) la population des femmes africaines est considérablement plus jeune, et bien en proportion des naissances, on peut avoir un taux de naissances africaines très supérieur à celui des naissances gauloises.
Comme c'est le cas, et bien la trahison immigrationniste, pourvoyeuse de chiffres bidons à destination des gogos qu'on veut remplacer sans qu'ils s'en aperçoivent (autrement qu'en se frottant les yeux en regardant les photos de classe de leurs enfants) se voit ici démasquée.
Une feuille de tableur le montre simplement:
Avec des hypothèses un peu forcées en termes de répartition mais en tenant compte des différences de fécondité, ici réalistes (1, 8 pour les Gauloises, 2,5 pour les Africaines), on réalise l'ampleur du désastre.
De fait, une population jeune fait PLUS d'enfants qu'une vieille, cela dès l'instant T.
La proportion de jeunes africains dans la population française est déjà très importante.
Le remplacement en fait est inscrit, merci aux démographes français, déjà victime de l'effroyable baisse de niveau intellectuel qui a saisi l'Occident de nous en avoir prévenu.
Le fond de l'affaire est que ce n'est pas la différence de fécondité qui fera la différence, compte tenu de la différence de population, mais bien la jeunesse de la deuxième population qui abaisse considérablement le taux de fécondité relatif à la classe d'âge...