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Les raccourcis

Il nous manque 40 miyards d'euros de pognon pour que la France boucle son budget à la hauteur du déficit promis. Avant que celui-ci ne soit pas, bien sûr, tenu, et qu'on augmente, bien sûr, encore davantage les impôts, on peut dire qu'il y a un problème et qu'il est facile à résoudre, dans une configuration où j'en connais une qui veut se venger et des socialistes qui réagiront bien, bien sûr, à de petites réductions de dépenses sociales. Quand on a "socia" sur son teeshirt, on a des exigences, bien sûr. 

Mais on ne va pas ici prévoir le chaos, juste évoquer l'attitude impensable qu'il conviendrait d'avoir et qu'on aura jamais, sauf à pomper Trump à la Française... 

Ma théorie est que le chef, le vrai, est celui qui tel De Gaulle à Montcornet jette méprisant à un officier sale et éprouvé qui revient du feu: "Je vous ordonne d'aller vous faire tuer". La chose la plus impensable qu'on puisse dire à un Français et qu'on méprise sa misère et qu'elle est nécessaire à la bonne marche du royaume. D'ailleurs on ne le lui a jamais dite, et mieux toute l'histoire fut celle de ce non-dit, les réussites du pays étant toutes liées à l'acceptation de la chose et ses échecs à son refus. Quel roi, quel chef put conduire ce pays à la victoire sur le dos d'oubliés assez silencieux pour que les autres, même moyennement dotés par l'injustice du monde se satisfassent au total de leur sort ? 

Alors que l'on rêve à la guerre avec la Russie, mais pas avec l'Algérie ou la Turquie, on semble vouloir évoquer les gloires militaires passées, alors qu'on ne peut embaucher que des employés sous-payés à défaut des journalistes, managers et autres communicants qui disponibles par milliers à la sortie de leurs écoles bidons trépignent, CV à la main.

Partout la lâcheté des refus de voir et de dire le monde tel qu'il est.

Arrêt de l'immigration et mise des petits français à la place après le deuil de leur émancipation universitaire pour solder le "ils font les travaux que les français ne veulent plus faire". C'est-à-dire le refus cynique et brutal de la revendication à l'égalité et à la richesse mené par le corps social français depuis quarante ans. 

Il faut remplir les usines à construire, et cela ne pourra se faire que par un exode rural d'un genre nouveau: celui qui poussera les masses misérables affamées à quitter les verts pâturages de l'assistance illimitée. Voilà le projet. Il couvre les deux aspects de la chose: la volonté de travailler à cela, la motivation à le faire. 

Tout doit tourner autour de ce projet là, et la compensation sociale de l'effort correspondant qui devra générer une pauvreté insupportable doit se faire au prix de terribles économies.

Il faudra ainsi se passer de l'intégralité du progressisme culturel et écologiste, bref de toute la galaxie woke et de son projet sociétal et économique basé sur le contraire de ce qu'il faut faire. Tout le système qui promeut l'installation des étrangers, la culture sociétale déconstructiviste, et l'écologie devra être démonté entièrement et l'argent gaspillé à leurs objets intégralement récupéré. 

Cela inclut tout d'abord tout le projet éolien à arrêter immédiatement avec des bénéfices en centaines de milliards à récupérer presque tout de suite. Dans un deuxième temps arrêt de tous les investissements consacrés aux soi-disant luttes contre le réchauffement planétaire et autres pollutions de l'air, pour le profit exclusif de la production massive d'électricité nucléaire avec priorité aux neutrons rapides accessibles dans les dix ans. 

Ensuite arrêt de toute l'éducation nationale non instructive avec les cultures sociétales en rapport qu'elles soient dégénérées ou non, festives ou non; enfin toutes les raisons financières ou autres pouvant faciliter les projets d'installation en France d'étrangers. 

La brutalité et l'absence de nuances en ces matières doit être extrême en terme de mise en oeuvre, les compensations individuelles étant nécessaires, mais dans les limites d'un système de chômage piloté globalement. 

Ça défoule, hein? 

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