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Les sciences

A propos des zététiques, et autres nouvelles sciences (1). Article qu'on commente... 

L'auteur, en veine de théoriser, se cite lui même (2). 

Mon commentaire: 

On sera surpris de voir le mot “Science” ordinairement défini comme “contenu”:
“Ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d’objets ou de phénomènes obéissant à des lois et/ou vérifiés par les méthodes expérimentales.” (Larousse),
se faire définir ailleurs (ici) par une “pratique”:
“La science est une approche rationnelle et objective d’investigation et de compréhension de la nature, sous ses deux aspects, théorique et empirique”(L’auteur).

Le reste de l’article consistant à tourner autour du concept reconnu non valide ici de “méthode” qu’on transforme en “bonne pratique” (on réalise confusément le problème que pose l’approche) pour le généraliser encore plus sans en changer l’aspect essentiel afin de justifier (ou d’excuser) le contresens.

Car le fond de l’affaire reste incontournable, il faut qu’il y ait quelque chose de “bon” et c’est l’objet de la plainte. Qui dirait que la “bonne” science est celle qui … ? Alors qu’une “pratique”, c’est-à-dire peu ou prou la réalisation de certains gestes dont certaines autorités (dont l’auteur fait partie) se proposent de valider la conformité intrinsèque, voire essentielle est intrinsèquement valorisable.

Se réfugier derrière les “bonnes pratiques” (ou “méthodes”) est une attitude actuelle particulière qui substitue le “devoir faire” au “faire”, typique du niveau d’activité “managérial” (l’expression en est d’ailleurs reprise), née des complexités du monde et qui en vient à se penser autonome et détaché du réel au point de se penser seul réel. Il n’est pas étonnant qu’elle soit manifeste dans les domaines particuliers de la physique ou de la pharmacologie gérant les appareillages complexes (et couteux) des accélérateurs de particules ou des tests collectivisés validant des “médicaments”.

La naïveté de cette manière “procédurale” de concevoir la science achoppe sur plusieurs apories.
D’abord l’applicabilité de la “méthode” dans tous les domaines. Une grande partie des “sciences humaines” traitent de régularités qui ne sont pas reliées à des phénomènes matériels et dont les descriptions font partie de ces régularités. Point de méthode là-dedans, ni même de réfutabilité. Cela n’enlève rien à leur caractère de “connaissances” mais tout à leur assimilation à la physique contemporaine, bizarreries quantiques comprises…
On pourrait s’interroger sur la quasi-confusion faite ici (le nom de Pascal Engel est cité) entre caractéristiques nécessaires du scientifique, et éthique du discours philosophique au sens le plus général.

Ensuite son efficacité dans la dénonciation (par ailleurs nécessaire) du crédit accordé trop rapidement à des affirmations douteuses, par ailleurs souvent parées du caractère “scientifique”. Car ce n’est bien sur pas à la science à se définir elle-même, et l’épistémologie n’est pas une science. Par conséquent, affaiblir la portée du mot “scientifique” n’est pas forcément une mauvaise chose et douter de tout souvent nécessaire. N’oublions pas la menace du “scientisme” qui ne semble pas inquiéter du tout l’auteur…

D’autre part on sent bien se manifester aussi des normes d’une autre type, dont notamment celles dont l’Etat et son administration ont besoin pour se légitimer en certaines circonstances.
Le fait que cette polémique se manifeste en plein milieu de la gestion chaotique (pour le moins) d’une épidémie est assez intéressant. Bien de bons principes y furent violés et Raoult n’est pas seul en cause…

 

Mais encore

Pour continuer le massacre que l'individu mérite en fait (en fait non, j'ai tort de dire ça), on doit le rattacher aux fanatiques anti Raoult qui le (Raoult) chassèrent avec une énergie destructrice que le virus méritait davantage. Non pas que le monsieur soit le pire d'entre eux, et il prit la peine de répondre avec politesse, quoiqu'avec l'obstination répétitive de celui qui ne comprends tout simplement pas ce qu'on lui dit.

Popper adouci, "induction" à utiliser avec précaution, expériences à "vérifier": tout s'exprime comme un déni en déni de ce qu'est Popper par essence. Comment "adoucir" le béton armé en critiquant sa matière, sa rugosité et aussi les bouts de métal qu'il contient ? Comprenne qui peut... Propose-t-on de dire qu'il y a tout simplement DEUX approches de la science, celle-ci étant précisément celle que Popper condamne résolument ? Une incompréhension complète, qui finit par devenir agressive s'en suit immédiatement. 

J'avais déjà remarqué cela derrière bien des intervenants des fameux "rézos": l'obstination à répéter sans trève la même idée "originale", et qu'on ne peut nier ou critiquer sans d'abord se trouver face à sa répétition inchangée. Dans un premier temps polie et calme elle s'enferre, puis s'identifie à la personne de l'émetteur et devient une "chose" qu'on ne peut plus pour finir que défoncer à grand coup de sarcasmes. L'attachement désespéré à un fait (ou principe) perçu dont on est certain par soi même est précisément le caractère de la forme primaire d'induction qui génère non pas une affirmation de témoignage (dont l'erreur pourrait être avouée sans être coupable) mais une affirmation de vérité (qui ne peut être abandonnée sans condamner sa propre personne) dont le caractère absolu justifie tous les actes de foi, toutes les répétitions rituelles et tous les martyres... 

Veut-on dire qu'il y a DEUX approches, et tenter d'initier un match qui pourrait être plaisant à jouer ? J'avais tenté la chose une fois et ne m'en était pas sorti, ayant eu affaire à un exceptionnel rétheur factuel...Et bien cela suscite immédiatement l'hostilité: relativiser la vérité est insupportable. Si Raoult est un escroc, il ne peut être concevable qu'il ne le soit pas, par définition... Comment admettre que c'est une connerie que de prétendre que la Science a une "autre" définition ? 

Et c'est précisément cette question de la définition identifiée au vrai factuel qui rend les affirmations si redoutables et si puissantes. Il faut un esprit primesautier comme le mien pour imaginer possible qu'on en discute... 

Alors ceux qui sont investi de cette vérité là se déchainent, et en meute, reprenant inexorablement la vérité. 

La masse d'arguments est terrible et justifie les insultes complotistes dont ces gens furent accablés et aussi les menaces de mort (aussi nombreuses que celles qu'ils encouragèrent, j'espère bien) dont ils firent certainement l'objet. Il faut savoir que la violence est partagée, et qu'il n'y a aucune raison que la dégueulasserie vicieuse et stupide soit laissée sans réponse, d'ailleurs c'est un peu la motivation de leurs écrits et donc des nôtres, je suis dans l'autre camp. 

On pourrait commencer par le boson de Higgs. Il ne fut pas "découvert". Qu'un méthodologiste prétentieux et dogmatique (je me lâche, et sans doute ais-je tort)  puisse utiliser une expression aussi impropre est saisissant et découvre le pot aux roses (on verra si le débat ira jusque là; il n'y alla pas). 

Le boson de Higgs fut en fait "découvert" par ses théoriciens et une expérience de réfutation échoua, montrant la présence conforme à la théorie de quelque chose qui y ressemblait grandement. 

Ce que je dis est Popérrien, réaliste et aussi rigoureusement scientifique: ce n'est pas l'expérience qui "découvre" la chose, mais bien la supposition qu'elle existe "conceptuellement", donc au sein de la connaissance, et que cela ne soit pas invalidé par une expérience en rapport. Le caractère exploratoire de la découverte (les valeurs numériques de sa position furent effectivement découvertes car non prévues à l'avance par la théorie) c'est autre chose, et traduit plutôt non pas la fragilité de la découverte, mais le caractère particulier (je ne parle pas de fragilité) de la théorie dans laquelle elle se manifeste. 

Le fétichisme autour du double aveugle nécessaire à la mise au point des vaccins est également typique de l'approche de ces gens. Abondamment critiqué pour sa fausse objectivité, le procédé, par ailleurs bien sur utile dans bien des circonstances n'est PAS l'alpha et l'oméga de l'expérimental et ressort en fait de domaines de réalités fragiles dans lesquels la régularité et donc la réalité même du phénomène à valider est relative. 

Un vaccin ne marche pas "toujours"... Ou ne marche que dans certaines enveloppes de régularité, ce qui n'invalide rien de son efficacité intrinsèque ou souhaitable, mais la rend mesurable. C'est le point: cette mesure est -elle effective et comment est-elle obtenue?  Il semblerait par exemple qu'elle dépende dans le cas du SarsCov 2 (la seule chose qui nous intéresse) du variant viral en cause et cela fortement.

Qui a mesuré (et publié) l'efficacité des vaccins pour les variants actuellement en circulation ? 

Le chiffre n'est tout simplement pas publié et Raoult, le vilain Raoult semble dire qu'elle serait plus basse (de moitié) des chiffres triomphalement affirmés pour ce qui concerne la première mouture du virus. La méthode en double aveugle n'a rien à voir là-dedans, bien sûr... 

De fait, il y a des chiffres qui sont publiés et qui confirme le "pour moitié". Il suffit de le savoir... 

Le post modernisme

Exclu du scientifique par le monsieur, le postmodernisme ne mérite pas l'opprobre dont on le couvre. Si les délires dénoncés par Sokal le furent (dénoncés) à raison, cela n'empêche pas que tous ses discours ne soient pas invalides par définition (pas mal, non?). 

Didier Raoult qui n'est pas un théoricien, mais un praticien cultivé qui donne son avis et vulgarise avec talent sur des questions peu abordées dans le grand public, soutient (dans un livre "pour une science post moderne") une approche "libérale" des sciences très intéressante, voire enthousiasmante, à mille lieux des éternelles craintes de dénaturation des ziziticiens. 

D'abord, il critique (avec une certaine tendance à l'homme de paille, il est vrai, mais l'homme a de la forfanterie, cela est vrai), la théorie darwinisite "classique" et la notion d'ancêtre commun. L'"arbre de la vie" est sans doute bien plus complexe et la notion de virus avec sa capacité à injecter dans les patrimoines génétiques des hôtes infectés des choses nouvelles remet en cause, effectivement, une vision fixiste de l'hérédité. Nous avons pour "ancêtres" des choses qui ne sont pas vivantes... 

Ses remarques sur les considérations au sujet de l'homme de Néanderthal, d'abord écarté avec horreur comme ancêtre possible, puis nécessité oblige, admis parmi nos parents au point de pratiquement devenir ce qui nous rend blanc, voire roux à l'origine montre que certaines considérations savantes en l'absence de critères établis peuvent colorer les théories dans le sens de bien des préjugés... 

Nous avons toujours intérêt à accroitre nos connaissances, et dans le domaine biologique, le pouvoir du microscope, même si il n'est pas lui à l'origine de la théorie à tester, et Popper a bien sur raison, introduit clairement de nouveaux domaines et avant de théoriser, il faut d'abord explorer ce qui est nouvellement rendu visible. Se prétendre scientifique en acceptant de regarder plutôt que de refuser ce qui est d'avance considéré impossible est absolument légitime et reprocher cela à Raoult est tout à fait indigne. 

Un autre aspect de la critique non fondée d'un mauvais postmodernisme fantasmé  : le "non cartésianisme" de Bachelard. L'auteur de la "philosophie du non" mériterait que sa liste de productions soit au moins consulté avant d'être voué aux gémonies. Le concept correspond non pas à la plongée du savoir dans le vaudou le plus torride, mais plutôt à l'intégration dans le scientifique du non complètement analysable, par exemple le non-analytique, inconnu à l'époque de Descartes, tu parles, celui-ci inventait l'analytique lui-même, chaque chose en son temps. 

Suspecter le français barbu de sorcellerie est assez débile, surtout que le concept en question ne doit bien sur pas être mésinterprété. Bachelard évoquait le "non euclidien" en fait, c’est-à-dire la capacité de nier en englobant, concept qu'on pourrait qualifier de post-moderne et qui tout simplement présida au scientifique pendant tout le XXème siècle, le siècle du renversement du monde des sciences à tous les points de vue et qui fit que le principal auteur du chambardement, le grand Albert, initiateur de tout (relativité ET quantique) qui apparut dans la lumière en révoquant un dogme fondamental,  fut lui-même désavoué au nom de conceptions philosophiques du contenu et de la méthode scientifique. Que retenir de tout cela ? Que le conflit est au coeur des sciences, que la créativité humaine ne peut et ne pourra jamais se résumer dans des règles à appliquer et que le monde est fondamentalement ouvert à la curiosité et à l'imaginaire. 

Sciences postmodernes

Le concept est bien sur un oxymore, le postmodernisme se voulant relativiste, constructiviste, quasiment non réaliste (quoique) et quasiment opposé à la science du moins la dure celle avec qui on ne peut rivaliser et donc qu'on détruit, ou qu'on veut détruire, ou du moins ravaler à quelque chose qu'on peut malaxer et règlementer... 

Comme on se revendique scientifique (mais humains) le tour serait joué, on va faire à toutes les sciences ce qu'on s'est fait à nous même... Tout cela est bien connu, et aboutit effectivement à des formes dégénérées de scientisme, qui fétichisent les procédures, ou du moins qui voudraient y rattacher la totalité du contenu scientifique. Je ne parle pas de ça. 

Car il y a aussi l'éthicisation de la science, et cette histoire de "démocratie technique" qui identifie controverses scientifiques (qu'on pourrait croire réservées aux conflit concenant les théories ou les résultats des expériences) et affrontement "citoyen" entre obsédés bigots des dommages collatéraux de la pratique des sciences, le mythe du savant fou étant le support unique du lamentable fantasme. Ogm, virus, truc atomique, robot, nanoparticule , tout ressort du danger et de la peur panique de ce que peut bien faire l'homme (la femme elle subit, sauf Marie Curie, la pire de toutes). 

Car hélas, la conséquence de la perception effective du caractère humain et bordélique de la démarche "en sciences", conduit à la volonté de faire participer aussi la femme de ménage aux choix de cloner le petit singe ou pas et on n'en sort plus... 

Cette affreuse tendance  à responsabiliser l'humain dans ses curiosités est une maladie horrible et elle défigure le monde moderne. Vade retro hideux petit con suédois de la petite folle à tresses ! Tu pues atrocement...

Il y a pire, il y a la chef de service à l'hopital Saint Antoine, le clone féminin baisable de Raoult, confite dans ses intérêts à promouvoir le Remdesivir, et aussi tout ce qui peut faire muter et varier le virus, et qui affirme en ricanant, contre l'évidence, que le virus a pas muté alors que si, et par sa faute... La salope a bloqué tout ce qui pouvait soigner pour mieux promouvoir la seule saloperie qui non seulement prétendait soigner à super cher, mais qui en plus ne soignait pas et pire, aggravait la maladie !!! Une diablesse, il faudrait la noyer dans du gel hydroalcoolique à 100 degrés. 

Est ce pire encore que l'abominable méduse graveleuse, costagluantiola, décorée pour ça, qui tous les clignotants au vert veut encore ça date d'hier nous confiner totalement encore un mois pour être sure. Totalement dans sa morve la putain de salope ne connait rien à rien, n'a traité le sida qu'en se branlant on se demande quoi et ne prédit que la mort de tous , tout en exigeant l'enfermement à jamais de tous les vivants. Ca c'est la science... Raymonde la science. 

L'induction

Popper se proposa une fois pour toute et c'est l'essence de sa proposition, de ruiner pour toujours le principe de l'induction comme technique et principe de la production de connaissance scientifique. Seul moyen apparant d'expliquer le passage du vrai "perçu" au vrai "conceptuel", elle est à la fois naturelle et source première de l'ennemi de toute philosophie: le scepticisme fondamental porté par l'évidence de l'impossible conceptualisation, celle-ci se devant de reposer sur une infinité d'observations. 

De fait, le scepticisme, et son cousin maudit, le scientisme, sont construit sur cette illusion cognitive et sa dénonciation forcenée: le vrai, le concevable deviennent impossible avec lui. Qui ne peut remettre en cause toute méthode, tout rite, toute religion répétitive du "bien pratiqué" au nom du doute fondamental envers ce qui ne soutient qu'une habitude ? Qui n'est pas tenté alors de renoncer au vrai et de se résoudre à faire la loi soi même ou à se soumettre au prêtre, faute de ne pas l'être soi même ? 

Mais le caractère tordu de la chose tient à la confusion des mondes et à la nature des abstractions. Le fait brut n'existe pas et tout est déjà théorie face à la perception: c'est cela qui fait qu'on croit découvrir la théorie du vrai alors qu'on ne fait qu'intuiter malaisément des théories à partir d'autres, tout en se pénétrant de l'idée qu'on a trouvé le principe, ou pire la méthode. 

L'immense génie d'un Kant, ou d'un Popper est d'avoir cassé le cercle maudit de l'illusion: il n'y a pas de réalité perceptible directement et il n' y a pas de vrai. Le rationnel n'est PAS réel et le seul réel qui vaille est celui qu'on ne peut connaitre que nous même, voilà la réalité. La compréhension (illuminée) de ce point de vue est propre à chaque individu et il est toujours surprenant de réaliser que des gens éduqués, en plus de génies incomparables (Hegel par exemple) , ne comprennent tout simplement pas cette idée et s'obstinent à "adoucir" Kant ou à le "compléter". 

Là encore, il y a dans la "compréhension" des choses, une relation au réel imaginal qui structure la relation au vrai, au sur, en fait au mémorisable. Comme si mon incapacité à comprendre ce que veut dire Girard (Jean Yves) était lié à mon incapacité à faire réel, crédible touchable ce qu'il hurle en se moquant du monde entier ! 

P.S. Finalement censuré par mon hote, tous mes commentaires sont systématiquement rejejté de (1), voici le dernier: 

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Bon, la censure a frappé, au moment de la confrontation avec la vérité: le mensonge caractérisé du scientifique, par faute de vérification. Expert Scape classe bien Raoult en tête au niveau mondial:
https://www.expertscape.com/ex/communicable+diseases%2C+emerging

C’est dans la catégorie “générale” de “communicable diseases”, que les spécialistes français du sida (et de l’hépatite, la “maladie de Gilead”, bien connue de la très dépensière Karine Lacombe) sont devant Raoult, du moins parmi les français, car le classement mondial ne les mentionne pas…

Vous voilà pris la main dans le sac, et sans vouloir rattrapper vos âneries, quelles quelles soient. Belle méthode, qui vous décrédibilise donc entièrement. A croire que les résultats de votre vie de labeur en sont entachés. Ne vous inquiétez pas, je ne les “vérifieraient” pas: je me contenterais de les nier en bloc.
0 sur 20, monsieur le menteur, de la part d’un étudiant raté !

Je cite cette saillie sur mon site , pour qu’il ne soit pas perdu.

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Qu'est ce qu'on se marre. Vous remarquerez que dans le cours de la discussion, je réalise que j'ai confondu deux articles, que je le reconnais et qu'on m'en fait grès ! 

 

(1) https://menace-theoriste.fr/la-science-et-sa-bonne-pratique/

(2) https://cernbox.cern.ch/index.php/s/3O5uoxSt5NfzcaE

(3) Lakatos et l'induction https://archipel.uqam.ca/10419/1/M15013.pdf

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