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  • Les post modernes

    On en finit plus de voir Michel Maffesoli déblatérer sur la post modernité. Cette fois, il s'en prend à la gestion du Covid (1)  et fait l'éloge d'une modernité qui s'effondre devant le virus, au nom de la raison. 

    Je vais essayer d'expliquer. Maffesoli est un gros prétentieux déconneur, mais malin comme un singe, et finalement assez distrayant.Un intello foireux, certes, mais très intelligent et brillant, et aussi très intéressant. On trouve des interviews vidéo de lui sur youtube en quantité.

    Il décrit la société (c'est un sociologue) comme souscrivant ou supportant des "valeurs" différentes suivant les époques et décrit assez clairement ce qu'on appelle la "modernité" et ce qui la remplace maintenant, la "postmodernité" qui en est le contraire. La modernité commence à l'époque de Descartes, avec l'âge de l'"individu". Seul, progressiste, universaliste, athée l'individu moderne laisse la place progressivement à la "tribu", "collective", passionnée de traditions, festives, enracinée dans un territoire etc. C'est cela les "valeurs" qui changent. Le grand mérite des intellos, c'est qu'ils expliquent le sens des mots. Qui utilise les mots "valeur" ou "moderne" sans savoir ce qu'ils signifient ?

    Le pouvoir reste exercé par des modernes, dont le caractère "progressiste" devient insupportable aux gens.
    L'"universalisme" qui rend équivalentes toutes les cultures au nom de la "modernité" et qui croit que le "progrès" de l'esprit humain rend semblables tous les hommes et permet donc de les faire gérer par un gouvernement mondial conduit par la raison est typique du modernisme à son apogée.
    Cette naïveté imbécile est tellement grandiose qu'elle est partagée (au cas où vous ne le sauriez pas) par toutes les élites mondiales, pape compris, et se trouve actuellement en train de ravager le monde. Elle est le responsable idéologique de la folie immigrationniste qui subvertit l'occident.

    Cette nuit, Joe Biden peut être le prochain président US, a accusé Trump d'avoir une politique d'immigration "criminelle" pour vouloir empêcher les USA anglo saxons blanc, protestants et riches se faire envahir par des dizaines de millions d'indiens hispaniques catholiques et misérables.

    Et bien le moderne croit aussi en la science et ne soigne que si des procédures "scientifiques" sont respectées. Il se laisse gouverner par des "scientifiques" qui n'ont pas eu le temps ni de chercher, ni de trouver, et qui dans l'ignorance totale d'une maladie inconnue font n'importe quoi dans l'urgence, par exemple entuber des vieillards par centaines, ou croire en des modèles mathématiques débiles absolument irréalistes qui les poussent à confiner des pays entiers, provoquant la ruine de l'économie pour rien. Corrompus jusqu'à la moelle, les équipes gouvernementales des progressistes totalement paniquées font n'importe quoi pourvu que cela profite à un laboratoire qui propose le parangon du progrès, un traitement à 3000 dollars par tête toxique et prouvé inefficace depuis des mois. L'Europe vient d'en commander (début octobre) des centaines de milliers de doses...

    Cette nuit, Joe Biden a sans doute renouvelé sa condamnation de la gestion du covid par Trump, qui aurait fait d'après lui (voir une conférence de presse récente) des centaines de millions de morts. Vous avez bien lu, le futur président des US confond millions et milles et reste persuadé que la maladie est très grave et que tout le monde est atteint alors que la maladie ne fait en réalité guère plus de morts que les grippes inaperçues des années passées.

    Pendant ce temps, de braves africains organisés en tribus, habitués à la misère généralisée, se soignent avec le premier truc pas cher qui semble marcher et ont beaucoup moins de morts que les blancs. L'excès des naissances africaines dû à leur contrôle pragmatique de l'épidémie va les rendre encore plus désireux qu'avant d'aller remplacer ces connards de blancs incapables de se gouverner.

    Étonnant non? Et bien le covid 19 sonne le glas de la modernité, et la fin de l'occident "moderne". Cela est dû à une perversion complète des valeurs qui ont fait son succès et qui maintenant, complètement dégénérées, le poussent à se suicider pour rien, par incapacité à assumer la mort de quelques vieillards.
    La majorité des français forme un peuple vieilli, malade et imbécile, qui attend la mort et qui sera balayé par l'histoire dans le siècle qui vient. Il ne laissera rien qu'un paysage ruiné par sa tristesse, sa médiocrité et les ruines abandonnées des époques oubliées avec lesquelles il a définitivement rompu et qu'il déshonore.

    DIE, BOOMER DIE !

    Un Boomer c'est un "baby boomer", typiquement un soixante huitard, né soit des fécondations inespérées des prisonniers masturbateurs de retour des camps, soit des bien plus glorieux chibres vainqueurs qui les remplacèrent 5 ans. 

    Après avoir vécu enthousiaste le glorieux retour marxiste des années 68 qui lui permirent d'affirmer le summum moderne individualiste et scientiste, il est devenu riche, assisté obèse et fragile. En position dominante, il exige que la société se suicide pour lui éviter les risques qu'il encourt avec son nez bouché. 

    Tel le monde maya qui abandonne ses pyramides, le boomer, toujours à l'avant-garde, consume enfin la société de consommation qu'il déteste. Le crépuscule des dieux sera bon pour la planète ! 

    (1) https://www.causeur.fr/michel-maffesoli-hypocondrie-couvre-feu-anxiete-185716

     

  • les 17 Octobre

    Les drames

    Le Samedi 17 Octobre 2020, on vit simultanément l'instauration d'un couvre-feu au nom du principe de précaution, des réactions horrifiées à un meurtre atroce perpétré contre un enseignant la veille par un migrant tchétchène dont la justice française avait refusé l'expulsion de la famille, et une marche de sans papiers clandestins en plein Paris réclamant leurs régularisations sans conditions. 

    Cela fait beaucoup pour un début de week-end et tout vient de loin, le gouvernement en place à ce moment précis de l'histoire devant avoir eu une fin de week-end chargée.

    La génération au pouvoir en France à cette heure de l'histoire doit assumer la responsabilité bien des choses dont une politique sociale extraordinairement dépensière et destructrice qui manifestement achève de ruiner le pays, une politique migratoire extraordinairement laxiste et imprudente qui manifestement conduit aux pires errements et une politique sanitaire extraordinairement autoritaire et panicarde qui manifestement conduit à la ruine brutale et inutile de secteurs économiques entiers. 

    Cette invraisemblable accumulation de nullité, de connerie et d'incompétence est absolument navrante et signe l'abandon par un pays civilisé de tout bon sens de toute fierté et de tout avenir. 

    Désespérés certains jeunes et certains vieux souhaitent maintenant qu'on passe à autre chose: violence, fascisme vengeur ? Tout ce qu'on méprise chez les peuples d'où viennent les migrants se présente chez nous comme un futur, c'est ce qui justifie en fait partout, la désespérance et le gout suicidaire du désordre complet, état naturel qui ne peut être rompu que par un espoir ou un projet, un attachement à un principe supérieur. Mais cela c'est pour après, il nous faut d'abord plonger.

    Car la France ne peut fonder quoique ce soit que sur des ruines et un abaissement complet. La longue suite des humiliations absolues que virent 40, 54, 58, 62, 68 n'en finit plus de le prouver. Il fallut 50 ans, une vie d'homme, pour finir d'abaisser la dernière mise debout. 

    Pourtant, il suffirait encore de faire preuve d'énergie et de logique: qui se lèvera et ferait "the right thing", en s'opposant à l'inéluctable subi par tous: libérer l'économie, arrêter l'immigration, ignorer l'épidémie, bref, tout ce qui est l'évidence même et qu'on considère impossible.

    Il faudra donc que l'on plonge, que la ruine soit patente, en tout cas établie; que la violence s'installe enfin de façon symétrique avec les premiers vrais déclassements; qu'incapable de lutter, la police laisse les débordements se produire, voire y participe. Y aura-t-il une force française qui puisse rétablir quoique ce soit avant que l'étranger, seule solution, ne s'en mêle ? L'occupation turque sera pesante, je vous le garantis. 

     

    Un peu de poésie

    Et de longs corbillards, sans tambours ni musique,
    Défilent lentement dans mon âme ; l'Espoir,
    Vaincu, pleure, et l'Angoisse atroce, despotique,
    Sur mon crâne incliné plante son drapeau noir.

    Les textes

    Revenons aux lois, aux textes et espérons que quelques décisions de changement de comportement deviennent possibles. 

    D'abord, l'article 9 de la Convention Européenne des Droits de l'Homme (1) 

    "Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction individuellement ou collectivement, en public ou en privé, par le culte, l’enseignement, les pratiques et l’accomplissement des rites.

    La liberté de manifester sa religion ou ses convictions ne peut faire l’objet d’autres restrictions que celles qui, prévues par la loi, constituent des mesures nécessaires, dans une société démocratique, à la sécurité publique, à la protection de l’ordre, de la santé ou de la morale publiques, ou à la protection des droits et libertés d’autrui. "

    Ensuite, une conclusion du conseil constitutionnel (Décision n° 2004-505 DCdu 19 novembre 2004)(2)  qui se référant à cet article, considère que la CEDH respecte:
    "... les dispositions de l’article 1er de la Constitution aux termes desquelles « la France est une République laïque », qui interdisent à quiconque de se prévaloir de ses croyances religieuses pour s’affranchir des règles communes régissant les relations entre collectivités publiques et particuliers".

    On fera remarquer que c'est exactement cette phrase que le sénat (à majorité républicaine ) voudrait faire rentrer dans la constitution, ce qui est pour lui une forme d'action et donc de réaction au meurtre atroce du jour... 

    Bref, en conséquence de quoi, il semble légal, (en plus d'être nécessaire) de contraindre les relations que la religion musulmane et sa pratique doit entretenir avec l'Etat, du moins en France.

    Cela jusqu'à imposer, de par la loi, aux musulmans de ne pas faire pression sur les fonctionnaires par leur habillement, exigences alimentaires, exigences de contenus informatifs ou éducationnels. Ce qui revient à imposer ce qui n'est pas l'usage affirmé par bien trop de gens, de la neutralité de la consommation des services publics. 

    Cela doit permettre de rendre légal l'interdiction du port du voile aux mamans accompagnatrices, et aussi aux étudiantes à l'Université. De rendre impossible toute demande de traitement particulier en matière de soins, d'alimentation collective, ou de contenu de programme d'enseignement. Bref, tout ce qui ne ressort pas de la pratique religieuse au sens défini plus haut et qui ne concerne que le cultuel et le rituel exclusivement, plus la liberté d'enseignement.

    Hélas, la notion de "pratique" que l'on pourrait ici distinguer du pur rituel et qui donc pourrait inclure les obligations non cultuelles d'habillement ou de régime alimentaire, pourraient réclamer en plus de ne pas être interdites, d'être obligatoirement rendues possibles par les services publics, au nom de la liberté... La position du CCIF, en quelque sorte. Sauf si bien sur on sort du CEDH, ce qui est une recommandation forte des gens comme moi mais qui nous fera perdre du temps. De toute façons, ce texte n'engage pas absolument les états. 

    Or, considérés comme des marqueurs d'une volonté maintenant clairement reconnue d'emprise sur le social par des mouvements politiques mettant en danger l'exercice des libertés républicaines, ces "pratiques" doivent maintenant être interdites. Une partie difficile s'amorce et je fais confiance à Macron (tu parles). Ce qui nous ramène à Baudelaire.

     

    (1) https://www.echr.coe.int/librarydocs/dg2/hrfiles/dg2-fr-hrfiles-20(2004).pdf

    (2) https://www.conseil-constitutionnel.fr/sites/default/files/as/root/bank_mm/decisions/2004505dc/2004505dc.pdf

     

  • Les mortalités

    On voudrait gloser ici sur les chiffres et considérer et estimer les mortalités. 

    D'abord les mortalités ordinaires mesurées globalement par l'INSEE. En 2019.  En °/oo (pour mille) de la population.

    totale:    10

    infantile: 5

    <65 ans: 2

    >65 ans: 40

    Tout est dit. Tout doit se ramener à cela.

    Mortalité routière: 0,5 °/oo en 2013

     

    Comparons alors avec le Covid

    La mortalité début septembre 2020 reste inférieure à 1/1000  °/oo PARJOUR , soit 1 par million par jour, soit 0,3 pour mille si cela durait toute l'année... Une grippette.

    Capture d’écran 2020-09-14 à 05.59.51.png

    C'est à dire moins de 1 par million par jour, le pic de l'épidémie étant de 10 à 20 morts par millions par jour...

    Donc, pour les plus de 65 ans, quelque soit les embouteillages en hôpitaux auquel on puisse assister, la mortalité globale reste TRES faible.

    30 morts par jour = 10 000 morts par an pour une épidémie qui durerait UN an soit

    10 / 60 000 = 0,2 °/oo de mortalité supplémentaire.

    Pourquoi donc nous fait on autant chier pour ça? ET OUI ! 

    Une pétoche totale a saisi l'occident qui s'est suicidé. Bye.