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Les connes

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"Je suis climat". (1)

On avait déjà ri sur le "je suis sauvage" (en référence à Jacqueline Sauvage, qui commit justement un hominicide du fait d'avoir été trop battue), on ne peut que pleurer (de rire) avec cette identification au climat,  le préfix "cli" étant cher aux inconscients féminins de ce type, le type (genre? espèce?)  "conne" s'appliquant. 

On notera la réédition du placard noir, et sa présence multiple, l'alternatif et isolé "I <culrouge> climat" exprimant une autre face du même inconscient, celle tournée vers l'arrière, la présence d'un individu masculin faisant tâche, heureusement son teeshirt jaune le re-situant à la bonne, place, cela va sans dire. 

Le chtarbé, le lisible s'affiche. Goinfrée de bio mais pas encore (carmignola ne fait pas cours tous les jours) adepte de la coupe vaginale qui réduirait les scandaleux déchets mensuels de celles d'entre elles qui ne sont pas (encore et enfin) ménopausées, la gent féminine défile pour ce qui la dépasse et la fanatise: LE climax. 

Bien sur du fait de leurs machos de conjoints, fécondateurs violents et alcooliques, les usines nucléaires rendent minimaux voire nuls les émissions de CO2 en provenance de France: innocents et fiers les adeptes de l'atome pourraient ils n'avoir rien à se reprocher ? Que nenni: à l'inverse de la pratique arabe, l'homme occidental doit être battu et cette fois, on sait pourquoi: parce qu'il fait beau et que le chinois pue, et surtout, c'est la(les) règle(s): parce que.

Evidemment on peut se consoler comme cela: de la même manière que la lutte contre le féminicide est en fait une lutte inconsciente contre le violeur arabe, et donc "quelque part" la réalisation des dangers de l'immigration de masse, la lutte (contre ou pour? on ne sait plus) le climat est une fine allusion à la petite taille des sexes chinois et cela nous réconforte; bien que cela puisse être aussi une allusion encore plus fine à la grande taille des sexes africains, ce qui nous meurtrit. L'inconscient, cette bête sarcastique et rigolote, souffle tel le cyclone, à pleins tubes, et relève donc les jupes de ces dames: on voit tout, on voit tout. 

Lycéennes, employées à mi temps d'ONG, branleuse de migrants, modistes, les chtarbées défilent et c'est Madame Figaro qui nous en informe. L'homme des bordels de la III république (un mal nécessaire) refusa 70 ans le droit de vote à ça, et on sait maintenant pourquoi, on en paye le prix, esthétique, moral et intellectuel. Peut on dire que l'on n'avait pas été prévenu ? Consubstantiel à l'organe génital en question, le cerveau qui le régule à intervalle régulier a ses caractéristiques et on ne le refait pas. 

Bien sur cette diatribe ne s'adresse qu'à une fraction du fameux sexe, sans doute minoritaire (on se console comme on peut ). Pourtant, la question se pose: où sont les femmes ? 

Préoccupées par l'environnement (plus que par le pouvoir d'achat, le manque d'argent étant une opportunité pour maigrir) le sexe refuse la viande et exige: pourtant, le gouvernement n'a toujours pas "agi". La revendication de la lycéenne d'instaurer un jour sans viande à la cantine nous plait bien: elle s'appelle Annaëlle et veut plus qu'une transition, un changement radical... Atterrés, les parents de cette (petite) conne doivent rêver à la poufiasse maquillée (parle à ma main etc) folle de ses fesses qu'aurait pu être dans l'idéal leur rejet-onne... A moins que la mère n'en soit, le divorce d'avec le fécondateur désormais adepte de la branlette généreuse étant évident, nécessaire: les traumatismes sont générateurs de refondations et l'amour est (nécessairement) aveugle.

Bien sur on fait cela le jour des gilets jaunes: Macron préfère; mettez vous à sa place,  qu'est ce qui est mieux ? "bouffe ma chatte pas le climat" ou "Macron enculé" ? Et puis ça fait une diversion, et cela est nécessaire, l'éborgnement est passé de mode et on a encore peur, il faut gérer. Pas un mot des gilets jaunes dans les journaux. 

On remarquera le sens de l'à propos des classes méprisées et abandonnées: pas un n'a eu l'idée de faire une affiche noire "je suis gilet jaune"; le manque de créativité des réprouvés sans doute. Juste des chants, pourtant lancés pendant de longues minutes: "on est là"... L'essence augmente, et les prébendes aux fonctionnaires ne changent rien au monde industriel qui continue de s'effondrer, les empêchant de vivre. Rien n'est fait, rien ne s'améliorera et ils seront jetés à la rue dès que l'effet des gaspillages aura passé. 

Jamais l'effroyable morcellement de ce monde à la dérive n'est apparu de manière aussi frappante; jamais on ne vit aussi nettement l'affreuse bêtise de cette classe dite éduquée, honteuse dégénérescence de la modernité, horrible libération des lamentables pulsions sectaires de mal baisées stériles. Tout cela est mur pour se faire tringler par les mongols, et on les leur laissera, on n'en veut plus. 

 

(1) http://madame.lefigaro.fr/societe/lyceennes-militantes-employees-dans-la-mode-elles-ont-decide-de-sengager-face-a-lurgence-climatique-marche-climat-210919-167109

 

P.S. il me faut garder l'image complète de la conne à l'état petite, handicapée mentale, laide, stupide, manipulée et revendicatrice. Au fait, l'immonde petite gourde est anti-nucléaire. Une caricature qui restera: 

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