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Les masculinismes

Effrayé par un sondage donnant 25 % des jeunes hommes français adeptes d'un peu de violence pour se faire respecter et hésitant à attribuer cette horreur à l'immigration, on réalisa vite que la castration nécessaire se devrait d'être donc relancée, études à l'appui. 

On en profitera pour redéfinir le féminisme comme ce qui permet et constitue les discours sur les hommes que les hommes ne peuvent tenir symétriquement sur les femmes sans se faire traiter de masculiniste...

Le football féminin, sport mineur médiocre et peu suivi est pratiqué par des sous hommes faiblards sans élégance ni force qui s'il pourrait à la limite écraser des amateurs mâles médiocres, devrait pour cela engager des transgenres africains, c'est dire... Il fallait la faire celle-là, et la dénonciation de la violence sadique intrinsèque des porteurs de bite la vaut bien, c'était un exemple. Suppression, donc, de la prescription pour les meurtres de femmes de plus de 10 ans, la pédophilie n'étant que garçonnière et les meurtres rituels de petites filles commis par des femmes qui plus est algériennes, ne comptent pas. etc, etc. 

On pourrait élaborer sur la différence sexuelle, qui même si elle sépare des humains par une coopération nécessaire, celle que doivent cultiver toutes les espèces de mammifères, au moins pour s'accoupler, nous y reviendrons, différence donc qui doit bien se traduire par quelque chose. On sent la femelle ourse grizzly, nantie de ses 3 oursons à nourrir seule, qui maugrée contre les mâles solitaires qui viennent convoiter le plus petit d'entre eux (pas pour le baiser, mais pour le manger). Une fois les 3 lardons éduqués, elle acceptera de se faire saillir pourtant, et par le plus gros et le plus (brillant) d'entre eux. 

Voilà le sort qui attend notre civilisation en devenir, c'est ce que je prévoyais de dire. En vigueur dans les banlieues et les cités du tiers monde, partout où il s'établit (le tiers monde), la stricte séparation entre mâles et femelles, retranchés derrière les préjugés et les haines et mépris sordides, ne s'interrompt que le temps de la fraie, les bordels et autres distractions communes ne comptant que comme remplacement du refus progressif de l'asymétrie existentielle fondamentale, élément clé de tout le sociétal moderne (le refus).

Autrefois soupape d'une coopération biologique civilisationnelle, forçant à une raisonnable fidélité partagée avec celle de ses voisins, et surtout de la fixation familiale nécessaire à la survie, la misogynie "ordinaire" qui pouvait faire pousser des hauts cris et surtout différencier les vrais gentlemen, souvent mieux récompensés qu'on ne croit, ne portait pas à grand chose et les allusions de mon grand père, homme adoré par ma grand mère, avaient intérêt à rester sous contrôle sauf à être reprises au nom des évidences par des êtres dont le statut, même avant la guerre de 14, était tout sauf vraiment bas, malgré l'absence de droit de vote, refusé comme on le sait par la gauche française au nom de la lutte contre la religion... 

Car la femme est religieuse, c'est même à cela qu'elle doit son statut civilisationnel depuis l'antiquité, qui malgré les différences entre nations, resta globalement en Occident dans des limites honorables: le christianisme est une religion de femmes de l'antiquité finissante, c'est même pour cela que l'empire guerrier s'effondra, laissant à la barbarie mille ans de travail pour refaire un autre monde... 

La nouvelle religion est du même type, et les mille ans qui viennent vont être pénibles pour certains, je vous le garantis. 

Revenons à la différence niée par quelques uns, la folie d'une bande en érection de petits trous du culs maquillés dotés d'anneaux dans le nez poussant à affirmer que "avoir des menstrues" et "accoucher" est évidemment à la portée d'ex queutards convenablement fourrés de coke et d'œstrogènes: si, si, ils y croient et vous obligent à y croire. 

Il faut savoir qu'elle a un côté sympa. En effet, la continuité sexuelle entre les prénoms en nombre infini peut finir par qualifier un pourcentage d'enculage dans le mixe sexuel qui peut devoir être exprimé par plusieurs décimales... De fait, la mémé hystérique à gros seins à qui on ne peut pas le dire devient minoritaire, voire inaudible: le féminisme à papa est maintenant ruiné et c'était le but. Le complot transgenre, animé par d'ignobles masculinistes, les vrais, vient de tuer et l'image de la femme et son existence même. Car nier le sexe au nom de la pudeur et de la vaginoplastie est un féminicide, et le plus puissant de tous. 

Comme la natalité s'effondre, le besoin en femelles devient nul et la conséquence est immédiate: mort aux filles. 

Comme par hasard, le transgenrisme concerne aussi les femelles, celles-ci se dépêchant de rejoindre le bon camp avec l'allure garçonne qui le fera se faire sodomiser à loisir. Nous y voilà. La grande variété des phantasmes masculins va pouvoir se déployer ab infinitum. Enfin. 

Le côté sympa est renforcé par la grande liberté de choix qui s'annonce, les gammes disponibles infinies étant appelées à former de longues queues, et on devrait pouvoir retrouver dans le foutoir, et pour pas cher, les mœurs du Moyen Âge si on en a le loisir. Comme expliqué plus haut, la chose en plus d'être scandaleuse, n'en demeure pas moins possible, voire inéluctable, rien absolument rien ne semblant en mesure de s'opposer à la chose, le masculinisme traditionnel, caricatural, dénoncé par la loi commune, et bientôt criminalisé ne servant que de repoussoir à la grande banalisation, dont il n'est que l'un des fétiches, on en trouvera toujours que ça excite... Possible, donc, et en cours. 

Face à un comportement massifié qui se déroule tel un tapis, nul besoin d'imaginer fonder un parti qui le retournera (en plus), ni même de vouloir cacher une petite graine quelque part: le début du trias inaugure une longue période, et il faut voir grand ! 

 

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