Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Les sexes

    A l'occasion des dénonciations variées qui accompagnent les scandales récent, un rapprochement essentiel et qui est l'état de la justice dans les années 60 caractérisé par l'indulgence silencieuse à l'égard du viol des femmes et l'extrême sévérité à l'égard de celui des  petits garçons (2). Toute la "libération sexuelle" qui a suivi (60 années tout de même) a visé dans un premier temps à réduire l'écart, les pétitions pour la liberté homosexuelle se succédant jusqu'à la baisse à 15 ans de la majorité homosexuelle votée en 82, à tort considérée comme la fin de l'interdiction de l'homosexualité en France (l'ignoble Fillon ne l'avait pas voté), les affaires de viol par ailleurs embouteillant les cours de justice (46 % des condamnations en assise pour l'année 2017 (1)). 

    On a bien sur ici un caractère "anti patriarcal" de l'évolution des moeurs, la bite de l'adulte et aussi le cul du petit garçon se devant d'être protégés, quoique bien sur l'accès aux enfants est bien sur aussi celui de celui aux jeunes filles et on en revient à la première pratique, il faut le dire, majoritaire dans les gouts. Les féministoïdes ne s'y trompent pas, d'ailleurs et les deux interdictions sont maintenant clairement associées et défendues (par l'attaque) vigoureusement. 

    Dans le principe, on ne peut évidemment que s'associer à la dénonciation des violences, mais le sujet trop facile à écarter est bien sur hanté par autre chose qui d'une certaine façon n'a rien à y voir, quoique, et c'est tout le débat. 

    A l'occasion de la folie anti Polanski de ces derniers mois, l'affaire Matzneff (Décembre 2019) en étant la suite, on peut donc gloser et il y a ainsi plusieurs sujets. On a traité la question de l'époque, les temps changeant, effectivement, on pourrait traiter celle de la censure, du matriarcat et de la prescription, l'acharnement judiciaire contre de vieux messieurs bien plus de vingt ans après des faits critiquables mais anciens relevant, cela sera mon premier point, de la pathologie. Pathologie purulente et au combien: un ministre ferait examiner la possibilité de l'interdiction de toute réédition des livres du monstre !!! En parlant de prescription, on notera tout de même de manière générale l'incroyable de ce qu'il faut appeler une tendance: la dénonciation trente ans après. 

    Cela avait commencé avec la dénonciation par des actrices embauchées moyennant bouche cul qui une fois leur salaire touché et dépensé considèrent ne l'avoir du qu'à leur mérite intellectuel et moral. Dés l'arrivée de la ménopause frigidaire (elle est pas mal cette là), on se révolte, c'est le moment. On enchaina avec tous les résultats des  (psych)analyses engagées sur le tard pour d'autres raisons poussant des rangés des voitures à se souvenir brusquement de tripotages anciens voire très anciens, en tout cas au delà de toutes les prescriptions. 

    Cela étant dit, le fond demeure et on peut gloser sur le sexe.

    D'abord, celui ci entretient avec la mort un rapport particulier, lié à son individualisation: alors que le moral ou l'intellectuel, associé au contraire à l'éternité et au transmissible sont par essence collectifs ou du moins communicables, le sexe ne transmet que des maladies et se trouve par essence et structurellement promis à la disparition, le bénéficiaire de la jouissance étant le seul à en profiter et même d'ailleurs brièvement, les échos d'un plaisir s'évanouissant toujours un peu avec le temps et sa description littéraire étant impossible.

    On pourrait parler de la musique, comme technique disponible pour transmettre ou encoder des sensations de cet ordre, mais même si l'écoute et la compréhension d'une interprétation musicale peut se ramener à un épisode sexuel, la danse, les larmes et les exclamations enthousiastes en étant comparables, le rapprochement porte plutôt sur les préliminaires, la véritable jouissance restant d'un autre ordre, et radicalement distincte, du moins à mon avis.

    Bien sur, l'appréhension "jouissive" de la musique stimule toute la sensualité et ce n'est pas moi qui rabaisserait ou relativiserait la possible très intense compréhension du son musical que l'on peut éprouver. Néanmoins elle reste par essence partageable, au moins en principe, et porteuse d'une réalité intellectuelle. Cette réalité peut être indescriptible, on y reviendra, mais sa présence, sa survie et sa transmission suffit à la rendre effective. Une réelle réalité, dont par contre la description littéraire est impossible, c'est bien connu. 

    Alors que le caractère solitaire de la jouissance sexuelle reste entier, c'est d'ailleurs sa fonction, la prime à la réplication de soi offerte par la nature se devant d'être rigoureusement individualisée. Le deuxième caractère essentiellement solitaire de la vie, en l'occurence la mort, elle aussi heureusement individualisée par cette même nature, en fait donc, en voilà une deuxième raison, le compagnon littéraire idéal, je veux dire dans l'échec absolu d'icelle à en décrire quoi que ce soit. 

    On s'est donc ici attaché au caractère indescriptible (par des mots ou des images) du sexe, de la mort et de la musique. Il faut savoir qu'il s'agit d'une thèse, et que l'un des fondements pour certains de ce qu'on appelle la littérature est précisément de la dénigrer, de la contredire, voire de l'attaquer. Et bien je voudrais exprimer mon plus profond mépris pour les tenants de cette opposition là, selon moi malsaine, gênante et vulgaire, et surtout absolument vaine, totalement inutile et surtout atrocement chiante. Le personnage de Gabriel Matzneff, que la vidéo(3) montre dans sa vieillesse comme atrocement superficiel et vain illustre cette ambition, menée cinquante ans avec le soutien d'éditeurs prestigieux pour un résultat qui se trouve aujourd'hui vivement contesté, y compris, et il s'en plaint, par des anciennes "victimes" autrefois jeunes amoureuses transies, aujourd'hui rétrospectivement sous emprise et s'en en plaignant.

    Sans vouloir me joindre au lyncheurs, le pauvre vieillard, mélange de Giscard d'Estaing et d'une vieille dame indéterminée à la voix chevrotant l'aigüe, n'attirant pas la haine (et non) mais au contraire la gentillesse méprisante, je proclame cependant, ce qui pourrait lui faire plus mal qu'on ne croit, la totale vacuité de ses idéaux, et le bonheur de ne pas avoir perdu mon temps précieux d'humain à les approcher, les envier ou même les vivre sans parler de les lire, les récits empoulés de viols de petits garçons ayant tendance, mais je ne suis qu'une bête, à me faire chier grave. 

    Car le caractère du monsieur est doublement faux au sens de faux cul et de menteur. La volonté de décrire, d'abord, en prétendant à la littérature; l'incapacité complète de ses romans à clé, (le héros c'est lui) ou des ses "journaux intimes" (le héros c'est lui) à décrire ou à communiquer quoique ce soit d'autre que sa prétention à donner envie de tringler (à qui d'ailleurs ?) comme il le fait en permanence étant manifeste. Il ne parle bien sur pas du tout d'amour ou de sexe, mais simplement de sa personne en position de contrôler les discours ou attitudes en rapport. On peut imaginer un lectorat féminin, l'évocation de ces thèmes donnant envie de passer de l'autre coté du manche, ou un lectorat masculin jaloux, cherchant à puiser des arguments ou des mimiques pour pécho aussi. Bref, rien de très glorieux. 

    Mais il y a autre chose, et c'est sa conception de la vie, et en particulier des rapports avec les objets de sa libido assumée. Décrite comme "perverse" par des critiques et par l'air du temps, je crois qu'il s'agit effectivement de cela: la volonté  de décrire et de vivre, l'assujettissement transgressif de l'objet de ce qu'on appelle amour et qui n'est que vaniteuse haine absolue de ce qu'on prétend aimer et que l'on consomme avec rage.  

    Bien sur excité par la violation de l'interdit à l'égard du jeune, il faudra en parler, la question de la confusion entre décrire et vivre, objet propre du fantasme réalisé, coeur de la perversion, est ainsi présente et reste le principal péché, selon moi. Péché d'autant plus absurde qu'il est artistiquement vain, par définition, toute la culture nous étant par essence communiquée afin de prévenir de cette impossibilité. C'est ainsi que barbe bleue est doublement planté: comme écrivain et comme jouisseur. 

    Car bien sur cette perversion est aussi proprement sexuelle: l'attrait pour le corps "jeune", d'ailleurs parfaitement relatif, étant d'abord volonté de posséder ce qu'on a perdu, ou bien ce que l'autre va perdre, ce qui est encore mieux, l'essentiel étant de le soustraire à quelqu'un, par exemple un rival qu'on est aussi en capacité de tringler aussi d'ailleurs. Pour cela il faut naturellement de la santé, et quand on en est doté, en plus de la beauté et des attitudes propres à séduire, et bien cela facilite les choses et bien sur les rend possibles, il n'y a plus qu'à s'y livrer. 

    La très grande solitude qu'évoque tout cela peut paraitre émouvante, et cela est sans doute le sentiment littéraire qui en découle sans doute, à part que l'évocation me laisse de marbre, je la trouve chiante et triste, en tout cas sans grand intérêt. 

    Bien sur il y a les jeunes filles que le gars m'aurait volé: de toutes façon interdites à l'époque, il ne m'a pas volé grand chose même s'il pense avoir pu sodomiser de belles âmes; et quoique cela ne soit pas certain, après tout:  les âmes en question ont elles été si belles que cela, avant et après le traitement qu'il leur a fait subir ?  En tout cas, ayant approché à au moins deux reprises ce qu'on appelle des "jeunes filles" sans avoir rien fait de ce qu'il décrit et en avoir gardé toutefois un souvenir ému et grandiose, je pense qu'en fait il s'est tapé des thons, ce qui arrive à tout le monde.

    Car la "jeune fille" a plusieurs aspects. Un grand nombre d'entre elles sont affreuses, très bêtes, etc. Certaines par contre sont aventureuses et quand en bonne santé particulièrement aptes au sexuel le plus débridé, cela du fait de la nature, tout simplement: l'attirance qu'elles suscitent est exclusivement biologique et destinée à les faire mettre enceinte le plus vite possible, idéal de la capacité reproductive oblige, les contraceptifs et autres retardateurs n'étant que de désastreux instruments de l'utilisation sub optimale de leurs merveilleux organes, dont le vieillissement inéluctable et inévitable n'entrainera que raideurs et douleurs au lieu de souplesses et joies.  Vouloir en jouir tant qu'il en est encore temps est donc naturel mais a des inconvénients: trop exclusivement attachée au sexe, la jeune fille ne se cultivera pas suffisamment et ne soignera que négligemment ses rejetons et ses amants futurs, voilà le problème. Et puis trop précocement abandonnée, elle perdra confiance en elle et deviendra méchante, voire pire: féministe. 

    Voilà le triste sort des jeunes filles, qui plus est besognées la plupart du temps par moins délicat que les écrivains bragards, leur condisciples caïds des cours d'école, trop natures pour être pervers, mais tout aussi négligents. D'où le terrible féminisme, qui entend se venger de tout cela. 

    Et puis il y a l'amour et le rapport sexuel. Variante de l'impossibilité de la description artistique dont on parlait tout à l'heure, je crois aussi qu'elle est impossibilité tout court, la deuxième transmission de l'esthétique en général, et y compris l'esthétique musicale, étant précisément la proclamation artistique de cette impossibilité. 

    Le "il n'y a pas de rapport sexuel" proclamé par tous les romanciers et tous les psychiatres est bien sur nié par tous les pornographes et tous les sexologues, mais cela ne change rien: le thème est bien là, et reste convainquant; la sagesse de ses tenants incluant en plus et d'autre part l'amour de la liberté (de soi et des autres). Il n'est pas lié à la perversion, il faut bien le comprendre, même si c'est d'ailleurs l'un des objets de la perversion, et de la perversion moderne, que de vouloir le transgresser, d'y jouer ou de prétendre l'avoir fait.

    Comme on l'a dit essentiellement solitaire, le sexuel ne peut être transcendé en principe par rien, ce qui fait d'ailleurs sa valeur brute. On peut trouver à cette limitation un coté pitoyable ou sympathique, et être charitable à l'occasion mais cela n'y change pas grand chose. Les prétentions à autre chose sont pitoyables et soumises au dédain évident que l'arbitraire décide en toute solitude avec ses propres sécrétions: les vouloir dépasser au nom d'une illusion qui évidemment ne peut se manifester que par la violence est criminel, à un degré ou à un autre et cela des deux cotés du manche. 

    Parlons d'amour dans ce contexte: charité charitable essentiellement et souvent tout de même échange à part que ce n'est jamais bien sur la même chose qui circule dans les deux directions, mais là on en revient au point précédent. La sentimentalité supérieure qui peut pourra ou pourrait s'exprimer ne devra rien au chimique et à l'excitation mais tout à autre chose, l'habitude jouant un rôle essentiel, le même que celui qui enfant nous liait à nos origines physiques immédiates. Peut on remonter encore plus haut? Sans doute, tout sera toujours possible, mais on se devra alors d'élaborer un peu voire communiquer au delà des sincérités convenues, qui bien sur peuvent à l'occasion se transformer en haine à une vitesse folle... Cela empêche-t-il les arrangements pacifiés et l'humaine lutte contre contre la solitude, qui peuvent aboutir à de vraies tendresses et à de vraies loyautés, voire plus ? Sans doute pas, tout est possible. 

    Par contre, les comportements de soumission, même s'ils sont partiellement chimiques, n'en restent pas moins éthiques pour ceux qui en profitent et utiliser la terreur silencieuse reste une violence. Quand cela ne gâche pas le plaisir mais au contraire l'accroit, et bien on peut dire qu'il y a un problème, un petit. Entre les deux il y a tout le reste et cela est compliqué, certains supportent certaines violences voire y trouvent un certain gout, et les adultes font ce qu'ils veulent: la sagesse de la limitation des concepts encourage toutes les conceptions de la liberté. 

    La codification des pratiques est une tentation de l'incroyable frénésie féministoïdale de notre temps. Il faut réaliser qu'elle n'est que le pendant de la connerie masculiniste dont un Matzneff est un (vieux) représentant et qui doit être moqué et méprisé avec le même esprit. Car le sexuel féminin, moins bavard, mais tout aussi avide en fait, a le droit d'exister et d'ailleurs existe. il n'en est pas moins haïssable d'ailleurs dans ses formes pourries et se trouve d'ailleurs tout autant utilisé par les prédateurs que son symétrique, le prédateur étant d'ailleurs là une prédatrice, pas moins avide de chair fraiche et de domination spirituelle et physique que ses pendants (...) genrés autrement. 

    Au passage, la féminisation de bien des métiers devrait entrainer les mêmes problèmes que précédemment et le sexuel féminin dominateur se manifeste, avec les mêmes rejets et mises à l'écart de soi même qu'on observait du temps des hommes. Ce serait par exemple la cause de la désaffection pour le savoir des jeunes garçons (parait-il), qui ne trouvent pas d'identification pour leur agressivité hormonale naturelle auprès de maitresses trop sourcilleuses. Le "nique ta mère" vient de là, quand la voilée se met à parler d'autorité, en l'absence d'icelle. 

    C'est ce genre de lascar qui peuvent à l'occasion vendre leur cul à de gras et vieillissants hommes de lettre cultivés pour qu'il se les enfilent pourvu que le bordel soit à l'étranger, le gredin restant sous contrôle et sa haine maitrisé par une autorité non paternelle extérieure et il y en a à revendre. On admirera à distance la hauteur de vue et la nécessité humaine et littéraire de ces homosexualités là (5). 

    Le très révéré Gide de la génération de mon père avait dans le genre bien servi la modernité, et mépriser hautement son communisme et sa pédérastie reste un crime, je ne parle pas d'Aragon, l'ignoble vieille folle tarée dont je conchie avec Céline la totalité des déjections. 

    Car il y a aussi la pédophilie... Ouvertement soutenue en public, décrite sans honte par des personnages connus et dans ses détails (Matzneff semble bien avoir décrit des ébats avec des enfants de dix ans, comme on dit (n<10)), qui sans doute et au bénéfice du doute, fantasmés par lui, mais cela ne change pas grand chose à la nature et à l'intérêt de ses fantasmes, ont accompagné la "libération" de l'homosexualité, en l'occurence de la séduction (la philopédia) de garçons jeunes voire très jeunes pour certains. On cherchera les excuses, l'époque et le petit nombre des vrais pédophiles, mais Matzneff semble bien en avoir été un, son gout pour les jeunes filles, un peu plus tardif, ressemblant à une pénitence que son gout religieux pour "le christ" et ce qui s'en rapproche ayant du le stimuler, on ne sait jamais, l'amour a ses lois et leurs applications deviennent plus sévères avec le temps. 

    Comme de bien entendu, et ils s'en défendent, toutes les pédophilies ne sont pas strictement violentes et celles qui furent tolérées (ou plutôt pas poursuivies comme les vieux réacs cul serrés traités partout de fascistes voulaient le faire dans ces années là, paix à leurs âmes à eux) demandèrent sans doute de la participation à certains caractères enfantins un peu vicelards, bien que cela ne soit pas une raison. C'est la ligne de défense, au demeurant fragile, du vieux salopard. J'avoue avoir semblé voir ça au premier rang de certaines cantates chantées par des enfants dont certains étaient un peu cabotins, mais rien qui ne me poussa à les attendre à la sortie. 

    Tout ce que j'ai exposé avant aggrave son cas, et sa vieillesse sera malheureuse, on veut le renvoyer de son logement social. Manifestement incapable de se suicider à la romaine, comme il le conseilla à Montherlant, il faut donc le protéger comme la vieille épave qu'il est. J'ai toujours été étonné par l'incapacité, comme dans les mangas, des victimes de ce genre de crime à se venger plus tard en allant écorcher les bourreaux de leur enfance. Mais Dumas, ce n'est pas de la littérature, et peut être que les petits vicelards séduits sont en fait passés de l'autre coté, car il parait que ça se transmet, comme le gout pour la littérature. 

    (1) http://www.justice.gouv.fr/art_pix/Stat_Les_condamnations_2017.pdf

    (2) https://www.20minutes.fr/societe/2684023-20191229-affaire-gabriel-matzneff-autre-epoque-argument-passe-mal

    (3) Interview surréaliste du vieux Matzneff  https://www.youtube.com/watch?v=tJGjKKJtXpc

    (4) http://leoscheer.com/blog/?2010/10/10/1409-l-amour-selon-matzneff-entretien-avec-franck-delorieux

    (5) la pédophilie, histoire: https://www.cairn.info/revue-le-temps-des-medias-2003-1-page-31.htm#pa25

  • Les corans

    eiil-etat-islamique-en-irak-et-au-levant-drapeau-860x573.jpg

    Lire la suite

  • Les 19èmes siècles

    philippe-muray-genial-et-inac.jpg

    Lire la suite

  • Les balances

    Pacioli.jpg

    Lire la suite