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  • Les discours de la Sorbonne

    Macron a fait un deuxième "discours de la Sorbonne" (1). De manière à illustrer l'absolue dépendance aux mots du personnage, il commence d'ailleurs par: "Sept ans après LE discours de la Sorbonne". Vantardise, prétention historique et prétention tout court, ça commence bien et tout de suite, nous y voilà. 

    La souveraineté européenne

    On notera la volonté marquée de répéter et de marteler voire d'insister lourdement sur le poncif absurde en forme de doublon oxymorique qu'est la "souveraineté européenne". Invention brevetée du monsieur, cette monstrueuse connerie absurde, qui scelle l'incapacité totale de l'homme, de sa vision, de son rôle et surtout sa nocivité, justifie à elle seule le coup d'État violent qui seul pourra nous débarrasser du petit trou du cul prétentieux qui joue avec nos nerfs. 

    L'Europe n'est pas un État, seul objet qui puisse être souverain. Affirmer un attribut et donc faire semblant de croire à l'autoréalisation par le verbiage de ce qu'on fait semblant d'annoncer  sous forme de vision personnelle qu'on affirme en dépit de tout et tous est une prétention rhétorique insupportable et maniérée. C'est sa stratégie, son discours, sa vie. 

    Les réalisations

    On commence par se vanter des deux catastrophes décidées par une Europe qui s'est auto saisie avec auto satisfaction de deux thèmes pour lesquels elle n'avait pas autorité: la santé et la défense, plus la catastrophique décision de se ruiner en se privant de la source d'énergie à bas cout qui assurait sa prospérité, sans parler de la ruine spécifique de la France qui consacra une deuxième covid budgétaire à compenser une hausse des prix de l'électricité entièrement causée par l'agression caractérisée contre notre nucléaire du pays avec qui nous faisons la "souveraineté européenne". 

    "De la même manière, sur l'énergie, qui aurait cru que nous pourrions nous défaire de notre dépendance aux hydrocarbures russes, acheter en commun et réformer si vite notre marché de l'électricité ?"

    En effet, comment imaginer qu'une gouvernance française puisse sur ces deux thèmes trahir notre histoire et nos intérêts avec une folie aussi abjecte, dont seule la bêtise, l'incompétence et la corruption, tout cela ensemble, peut justifier l'abomination ? Et il pose la question, le con...

    "Nous avons aussi lancé avec l'Allemagne des grands projets, le char du futur, le système de combat aérien du futur."

    Sur les deux thèmes, l'Allemagne se montra intraitable et méprisante, s'attribuant toutes les directions, tous les brevets, cela au contraire de nos capacités et possibilités de développement, justifiant tous les soupirs et résistances forcenées de la part de nos industriels floués, méprisés et dépossédés. 

    "On a beaucoup entendu critiquer, en particulier le Green Deal qui a été pris. Pardon de cet anglicisme dans ce lieu."

    De la ferme à la fourchette... Consacrée à la destruction de l'agriculture européenne sensée compenser par les exportations de produits "industriels" les entrées depuis les pays visés de leur viandes et produits frelatés produits de toutes les manières possibles de toutes les manières que nous nous interdisons à nous-mêmes. Tout cela au nom d'une "transition" qui soulève partout des révoltes désespérées auxquelles on cède à coup de milliards empruntés... Transitions stupides pour qui pollue le moins au nom de ceux qui se goinfrent de charbon sur notre dos et qui nous "donnons l'exemple". 

    "Le cinquième pas décisif de cette dernière année, c'est que l'Europe a commencé à réaffirmer clairement l'existence de ses frontières." Se préparant à accueillir des pays corrompus faillis (Ukraine et Moldavie) qui plus est disputé par une puissance industrielle, notre ex premier fournisseur de gaz, à qui nous faisons la guerre sans la faire, vous voilà donc dans la clarté du désastre.

     

    La mort de l'Europe

    L'Europe comme les civilisations (Valéry le poncif des discours de patronage est encore cité, sans honte ni a propos), peut mourir... "Elle peut mourir. Elle peut mourir, et cela dépend uniquement de nos choix. Mais ces choix sont à faire maintenant." 

    Après le vibrant satisfecit qui précéda, la douche froide a terrorisé la macronie et au-delà et bien sûr ravi le reste, la dislocation du machin corrompu étant prévu et espéré par tous les lucides après la victoire russe que tout le monde anticipe. 

    En parlant d'anticipation, l'euphémisme est de rigueur :

    "Nous avons maintenant des puissances désinhibées régionales qui sont en train de montrer aussi leurs capacités. La Russie et l'Iran pour n'en citer que deux". Tordant et à l'image du trou du cul: rose et lustré par sa grand-mère... 

    On continue: 

    "Et donc oui, cette ère où l'Europe achetait son énergie et ses engrais à la Russie, faisait produire en Chine, déléguait sa sécurité aux États-Unis d'Amérique, est révolue." Cette révolution eu lieu depuis le premier discours à la Sorbonne et sous les applaudissements du satisfecit fait. Elle consomme l'inanité de l'échec contemporain des 20 dernières années de l'Union Européenne menée avec ces présupposés là et qui justifie maintenant sa ruine et on l'a dit sa dislocation nécessaire, le fournisseur d'énergie et d'engrais (l'agriculture européenne n'a qu'à bien se tenir) n'ayant pu être mis à la raison et sa victoire prochaine doit être un évènement à prévoir. 

    "On ne peut pas durablement avoir les normes environnementales et sociales les plus exigeantes, moins investir que nos compétiteurs, avoir une politique commerciale plus naïve qu'eux et penser qu'on continuera à créer des emplois. Ça ne tient plus." Tiens tiens... L'Europe est donc bien morte. C'est donc bien le message qui s'appesantit aussi sur la culture sans valeurs ni contenus à transmettre y compris même la démocratie. Tout à l'avenant et pour finir, et nous consoler:

    "Je pense que c'est par la puissance, la prospérité et l'humanisme qu'on donne un contenu en quelque sorte à cette souveraineté européenne". Il le pense. Le reste est un rêve mou sur l'"Europe puissance"... 

    La Guerre 

    C'est la guerre.

    "Le principal danger pour la sécurité européenne est évidemment aujourd'hui la guerre en Ukraine. La condition sine qua non que la Russie ne gagne pas la guerre d'agression qu'elle mène contre l'Ukraine."

    Le "qua non" sera joli à voir lorsque la victoire russe, prévisible et évidente aura lieu (avant ou après l'élection européenne?). Le visionnaire qui va nous l'empêcher estime alors avoir eu raison, compte tenu de ce jugement là, de prendre fait et cause pour le pays néo nazi failli et corrompu qui va disparaitre corps et bien après l'épouvantable boucherie humaine, sociale et économique qu'il subit grâce à nos encouragements. 

    On en vient à la stratégie, ou plutôt à son ambiguité, ce qui la caractérise: 

    "Simplement, j'assume totalement le choix en la matière, le 26 février dernier à Paris, d'avoir réintroduit une ambiguïté stratégique." Menaçant donc la Russie de lui livrer des soldats (peut-être pas tous volontaires) à tuer sans que nous ne puissions répondre autrement qu'en lui en donnant d'autres pour le même usage, le trou du cul au pet parfumé menace de froncer les sourcils: "Avons-nous des limites ? Non."

    Le sommet de ces considérations stratégiques éclairées et qui décrivent fidèlement l'échec complet de ce qu'il soutient est alors atteint fièrement : "Les événements les plus récents ont démontré l'importance des défenses anti-missiles, des capacités de frappe dans la profondeur, qui sont indispensables au signalement stratégique et à la gestion de l'escalade face à des adversaires désinhibés." Sommet sur lequel on plante le drapeau du message, c'était lui: 

    "C'est pourquoi ce qu'il nous faut faire émerger, et c'est cela le paradigme nouveau en matière de défense, c'est une défense crédible du continent européen."  Vous avez compris: un paradigme nouveau doit émerger. 

    On se gaussait autrefois des discours véhéments de ces chefs d'Etat du tiers monde qui singeaient les blancs avec un accent rigolo, citant l'antiquité grecque et se pavanant avec des expressions absurdes tirées du cargo culte dont il vivaient: nous l'avons chez nous, c'est nous. L'accent rigolo est le ton efféminé qui se veut charmant et cultivé: un nouveau paradigme doit émerger en matière de défense, nous sommes en guerre. 

    Conseillé par des experts le stratège visionnaire hésite pourtant : 

    "Est-ce en augmentant nos capacités de défense, et lesquelles ? Sans doute." Tordant, vous dis-je. 

    On a apprécié le "mieux nous protéger contre les attaques physiques, par exemple, contre nos câbles sous-marins et télécommunications ", à l'exclusion des gazoducs par contre, eux pris en charge par nos alliés et que nous ne dénonçons pas, souveraineté oblige. 

    La recherche? Un objectif européen de 3% à réaffirmer (nous  sommes à 2,2, comme la France). 

    La monnaie ? Il faut un objectif de décarbonation à la Banque Centrale. Sans limite, l'imagination écologique du faux cul qui s'endette à mort avec un déficit budgétaire abyssal: tout pour les petites fleurs. 

    L'investissement ? Il faut qu'il soit commun (soit on donne, soit on prend, allons y ) et surtout le cri du coeur à hurler de rire (et de rage): "Ce sont des subventions qu'il nous faut." 1000 milliards, il nous faut. De plus, l'épargne finance les américains. Donc on a un an pour drainer tout ça. 

     

     

    Nuke them all

    On aborde alors la question du nucléaire... Gardez vos pleurs. 

    "La dissuasion nucléaire est en effet au cœur de la stratégie de défense française. Elle est donc par essence un élément incontournable de la défense du continent européen. C'est grâce à cette défense crédible que nous pourrons bâtir les garanties de sécurité qu'attendent tous nos partenaires, partout en Europe, et qui aura vocation aussi à construire le cadre de sécurité commun, garantie de sécurité pour chacun. Et c'est ce cadre de sécurité qui nous permettra, le jour d'après aussi, de construire les relations de voisinage avec la Russie."

    Le nucléaire français: il est français (en son coeur) et DONC PAR ESSENCE européen.  Le "en même temps" n'est ici même plus de mise... Nous allons donc "bâtir" des garanties grâce à lui, et des garanties pour chacun ! 

    Évidemment, le commencement du début d'une telle folie devra se traduire de la par des militaires en charge de l'exécution des ordres de cet enculé, par la mise d'une balle dans la tête du visionnaire. Du moins je l'espère tant est patente l'absurde haute trahison qui consisterait à détruire la planète pour le viol légitime par un yakoute d'une nazie kraignos. A détruire ? Pire, à menacer sans le faire, pour consommer l'abaissement et la honte. 

    L'industrie

    La reconnaissance du sous investissement depuis "des décennies" (et depuis deux ans?) dans l'économie de guerre se consume dans la posture humiliée: "j'assume le fait qu'il nous faut une préférence européenne dans l'achat de matériel militaire." Le mot "F35" n'est pas prononcé, au contraire de l'avion de combat (franco)allemand projeté dans l'avenir comme un crachat. Par contre: "Regardez la Facilité européenne de PAIX que nous avons bâtie pour les débuts de la guerre, les trois- quart ont été utilisés pour acheter du matériel (de GUERRE) non-européen." On aime là encore l'emploi des mots, "non-européen" signifiant "américain" pour le matériel de guerre servant à la paix. 

    On parle du Rafale, qui de manière inespérée fut commandée (chichement avec prélèvement sur nos avions pour livrer en urgence) par la Grèce et la Croatie, alors que le F35 fut acheté par le reste de l'Europe unanime. Inutile de dire que la standardisation nécessaire devra s'aligner, on se demande avec qui...

    En tout cas, pour le vert, et grâce à lui, on ... réindustrialise. 

    "Et donc, la réindustrialisation verte, c'est l'Europe qui la permet et qui l'accompagne et c'est ce qui nous permettra de ré-avoir des capacités, d’être aussi le premier continent zéro pollution plastique, d'être un continent au cœur de la décarbonation et de l'électrification."

    Le délicieux passage sur la "simplification" permise par l'Europe: "Et c'est une action de bon sens et le marché unique est une action de simplification ; c'est de passer de 27 systèmes de règles à 1" sans mentionner aux agriculteurs et autres entrepreneurs désespérés la bureaucratie multipliée par 27, la complexité étant maintenant locale, merci l'Europe. 

    La volonté d'industrialiser est réelle: "Décidons maintenant de faire de l'Europe un leader mondial, d'ici 2030, dans 5 secteurs parmi les plus émergents et les plus stratégiques." Le futur, le futur, quand les entreprises qui dépendaient d'une énergie peu chère ferment (Duralex, l'Aluminium) ou partent aux USA (l'industrie allemande), grâce à notre sortie si nécessaire de la dépendance russe... 

    En parlant de la "dépendance", le très beau "On a un problème de compétitivité-prix sur l'énergie, parce qu'on a des dépendances" illustre une volonté d'"électrons décarbonés" avec le rappel toujours la reconnaissance humiliée de son échec total "Nous devons assumer de construire l'Europe de l'atome, en assumant que le projet Euratom, par ailleurs, fait partie des ambitions fondatrices des traités de 1957"... Vous avez gardé vos pleurs ? 

    On assume donc les 20 ans de politiques de dénuclérisation: "Au fond, il nous faut bâtir une Europe de la libre circulation des électrons décarbonés. Pardon de le dire comme ça, mais c'est exactement ce qu'il faut faire. Qu'importe qu'ils soient produits avec du renouvelable ou du nucléaire". C'est pourtant bien la volonté de mettre aux même prix les électrons des deux natures qui a permis à l'Allemagne de détruire le nucléaire français. 

    L'agriculture vous intéresse ? Le cri du coeur est poussé plus loin dans le discours. 

    "Et il est insensé - quand j'entends tellement de collègues - que l'agriculture soit à chaque fois la variable d'ajustement des contrats commerciaux." Il a beau ajouter véhément "Non, Non, Non", l'aveu est là. Alors comme ça ... L'évidence dénoncée depuis douez ans (la durée de sa présence au sommet de l'Etat, conseiller et décideur) repose sur une réalité ? Surtout qu'il n'y a pas que là, les produits étiquetés "europe" après un séjour dans un port européen et les règles débiles que nos concurrents n'ont jamais respectées... 

    Le CETA à part les viande importées qui peuvent être nourries aux farine animales et grossies aux antibiotiques (seules les hormones sont interdites) elles ne se sont pas manifestées lors de l'application provisoire du traité. Un bon traité, pour l'instant. 

     

    La géopolitique

    Les ambitions du futur chef de l'Europe nucléarisée sont planétaires, il parle de l'Europe comme d'un "continent-monde", il fallait y penser. On imagine le sourire crispé, et le fou rire en cachette de Poutine devant cette incroyable connerie... Sans parler du "Pacte pour les peuples et la planète" suivi de l'improbable et là de proprement délirant :

    "Et de montrer qu'il n'y a jamais chez nous de doubles standards et que nous avons bien, là aussi, notre autonomie."

     Puis on aborde l'immigration, le en même temps contradictoire humilié atteignant là un maximum théorique:

    "L'Europe puissance, c'est aussi une Europe qui maîtrise ses frontières. Je le disais, en parlant de l'adoption du Pacte asile et migrations, qui a été une avancée majeure." En gros on se réparti entre états membres les envahisseurs que nous ne pouvons pas empêcher de venir... Et on s'en vante. 

    Pour ceux qui auraient un doute sur l'efficacité du pacte (qui fut signé la semaine dernière):

    "Mais nous devons agir avec plus de fermeté en matière de retours et de réadmissions pour toutes les femmes et les hommes qui arrivent sur notre sol et qui n'ont pas vocation à rester, qui ne sont pas éligibles à l'asile. Ceci impose une vraie politique européenne et une vraie coordination." On n'est jamais content... 

    L'avenir est donc devant nous. Le sublime : "Nos frontières sont un bien commun. Nous devons bâtir une structure politique qui permet de décider entre tous les pays qui la partagent et de prendre — sur les sujets d'immigration, de lutte contre la criminalité organisée, de terrorisme, de lutte contre le trafic de drogue ou de la cybercriminalité — des décisions ensemble." illustre la perte totale de contrôle de notre Etat sur ce qui matérialise sa souveraineté, ce pourquoi il est fait et qui non seulement n'existe plus, mais n'existera que plus tard, avec la "souveraineté européenne". Tous ensemble.  Et l'allusion aux pays des grands ports (Belgique, Pays Bas devenus des narco-états) nous parle bien du futur.  

    Gardez vos pleurs. 

    L'Europe est morte

    En résumé, la reconnaissance et la déploration ridicule de l'échec total de l'Union Européenne dans ces trente dernières années doit nous conduire à ... On se demande quoi, mais il a l'air content, il a des projets, pour ... continuer. 

    En attendant, "À nouveau, notre Europe ne s'aime pas." Tu parles. Camus disait: "Notre Europe est une aventure commune que nous continuons à faire malgré vous". Malgré vous ? Le cri du coeur. Ses limites ? "De Lisbonne à Odessa." 

    De quoi stimuler la nouvelle défense européenne qui devra, protégée par l'arme nucléaire française, se faire écharper à Odessa juste avant la victoire totale des Russes... 

    Car nos "démocraties libérales" sont menacées par la ... réinformation: "Mais il y a un retour de la propagande, des fausses informations qui viennent bousculer nos démocraties libérales et prônent un autre modèle." Va-t-il se plaindre des rumeurs sur Jean Michel propagées par les média américains qu'il va demander à interdire ? 

    Un plaidoyer pour les listes transnationales aux élections européennes (une idée qu'elle est bonne, pour mieux permettre aux pays européens de disparaitre encore mieux). L'évidence de la nécessité du projet (malgré les refus de tous, bien sûr), le surprend lui-même. 

    Un plaidoyer pour un érasmus de l'appentissage: encore mieux! Ce qui différencie les organisations industrielles des pays, ce qui charpente leurs modèles de production devrait être partagé. Sans doute pour envoyer les ouvriers français en apprentissage en Allemagne, comme en 42... Cela au nom de l'humanisme, tout comme les bibliothèques européennes, pour faciliter l'apprentissage de l'estonien sans doute. Le Pass culture, qui permet d'acheter des mangas et d'écouter du Rap, n'est pas une invention française, nous dit-il. 

    La majorité numérique à 15 ans, à partir de cet âge, le porno sera autorisé, comme le reste. Par contre la haine, elle est due à l'anonymat, et donc à combattre. 

    Le droit à l'IVG dans la charte des droits fondamentaux européens ? C'est l'égalité des hommes et des femmes, ou son contraire plutôt: un droit de plus pour les femmes en fait ! 

    Le partage européen de la protection sociale ? La solidarité européenne pour protéger lors de la "transition sociale". Cette transition là parait plaisante... 

    L'humour du millionaire dont personne ne sait ce qu'il a fait de son argent se manifeste alors: il a parlé avec Lula (emprisonné et décu pour corruption) de la "taxation des hauts revenus". Une tentative pour faire entrer la France dans les Brics, sans doute... 

    La débilité du pédant taré ne pouvait éviter le "Mais c'est en effet cette Europe des cafés, de nos capitales, qui sont autant de palimpsestes qui ... ". On aimerait lui gifler un palimpsestes sur sa gueule de con, oui. 

    On se terminera par l'évocation indicible: "Ici même, à la Sorbonne, Ernest RENAN se demandait ce qu’était une nation. Et l'heure est venue pour l'Europe de se demander ce qu'elle compte devenir."

    J'espère de tout coeur que cette gignolerie discréditée va se disloquer enfin. C'est pour bientôt. 

    P.S. Ce monument de débilité démagogique, aberrant et imbécile, sera décompté du temps de parole de la pauvre greluche tarée qui va représenter ces rêves cuculs à l'assemblée européenne. 

     

    (1) https://www.elysee.fr/front/pdf/elysee-module-22625-fr.pdf