Les scénarios
Au fait (et au combien) de l'actualité et lecteur compulsif, on pourrait se demander, en ces périodes de voeux, quels sont les scénarios plausibles qui peuvent se réaliser dans l'avenir proche, disons cette année et qu'elles pourraient en être les conséquences.
Tout d'abord, on se permettra d'écarter toute victoire militaire de l'Ukraine, malgré l'enthousiasme de nos commentateurs en France, pays le plus marqué par l'Ukrainophilie fanatique, au point de ne plus dépendre, comme source d'informations que du gouvernement ukrainien, cela y compris pour des choses bénignes par exemple les communiqués du gouvernement, et la réforme des retraites, manifestement entièrement gérées (je parle de l'essentiel, la communication) depuis Kiev.
Pas d'extension du conflit
Considérons d'abord l'extension du conflit. Marqué par la domination matérielle absolue des Etats Unis, tous les canons français sont actuellement en réparation et le Crotale (système conçu à la fin des années 60) promis pour se défendre des missiles russes n'est pas encore à poste, bien qu'ayant fait ses preuves en 1987 en abattant un TU 22 Lybien. Bon.
Les USA n'ont clairement pas l'intention de s'engager directement dans le conflit. La conséquence en est que l'OTAN non plus, et que tout sera fait, malgré les mensonges, les débordements et les anicroches variées pour que l'état de conflit avéré effectif entre Russie et OTAN ne s'installe pas, les conséquences en terme d'engagement américain étant imprévisibles et notamment par les porteurs de la vraie responsabilité, l'atomique, les USA.
On a en effet, à la base de l'arrangement qui est à l'origine de la formation de l'OTAN une double incertitude. D'abord celle, soulevée par le Général De Gaulle en son temps et qui est que l'Amérique pourrait ne pas s'investir en cas d'attaque d'un petit pays de l'Alliance: le soupçon est réél, et pourquoi ruiner le monde pour un confetti d'empire ? Libre de décider, le pouvoir suprême a trop de responsabilité et surtout en a l'exclusivité. De même, la chose fonctionne dans l'autre sens: comment laisser à un confetti d'empire, par ses provocations ou ses délires belliqueux, le droit de déclencher l'apocalypse du seul fait d'une "alliance" ? Et puis, cerise sur le gâteau, comme c'est l'Amérique qui décide, comment se laisser soi même entrainer dans un conflit mal maitrisé structurellement, on le voit bien, sans avoir son mot à dire ?
Toutes ces réflexions à la base de l'alliance, furent menées bien sûr lors de la décision en 54 de ne pas faire l'Europe de la défense, et on se contenta du parapluie, confortable moyen de ne pas financer un sang impossible à verser, ce fut la stratégie de l'Allemagne.
On en vient aux projets militaires de Scholz pour cette année, allant jusqu'à monter de toutes pièces dans l'urgence et sans la France, un gigantesque projet de dôme de fer européen avec matériel américain destiné à nous protéger (le Portugal aussi) des attaques russes. On se prend à rêver au niveau de connerie et de nullité morale, politique et surtout intellectuelle à l'annonce de telles stupidités dispendieuses, de la part d'un connard de chauve, assez taré pour se faire détruire ses pipelines de gaz par son allié et prêt pour remerchier le doigt qui l'encule, à dépenser des milliards pour du gaz bien plus cher que celui qu'on lui a interdit, mais en plus pour des armes inutiles qu'il renonce à produire lui même. Le lamentable et le méprisable comportement de la première puissance européenne, désormais ruinée est ahurissant et stupéfiant.
Mais qui suis je, moi le haineux pour éructer de la sorte ? Un zombie ? Un courant d'air ?
Pour enfoncer le clou les deux paragraphes précédents sont reliés: l'Allemagne, du fait de son appartenance à l'OTAN n'a pas besoin de se protéger de missiles qui pourraient provoquer une intervention de toute l'alliance et donc des USA. À moins que comme De Gaulle, elle songe à se protéger seule... Dans ce cas, elle commencerait à vouloir se doter de l'arme atomique, seul moyen de se méfier vraiment de son grand allié. Bref, inconséquence et communication débile à l'égard d'ignorants et d'ignorantes, n'oublions pas que l'Allemagne est à parité et que la Défense c'est la chasse gardée des femmes, Van Der Lyen, conseillée par son fils employé de McKinsey a géré, et a dépensé en son temps. La ministre actuelle, une juriste, ex ministre de la justice, ex ministre des personnes âgées doit disposer d'une vision de ces sujets qui doit dépasser l'entendement de beaucoup, notamment des russes, ces violeurs compulsifs historiques que la femme allemande délurée donc en 1945, se doit de combattre.
Cette parenthèse à la fois misogyne, raciste et haineuse, faite, revenons à l'essentiel: il n'y aura pas d'attaque de l'Allemagne par les Russes, mais la question de la Pologne doit être examinée. Exigeant de l'Allemagne une réparation pour les dommages causés lors de la 2ème guerre mondiale, vous voyez on y revient toujours, les Polonais donc s'arment et on dirait qu'ils en demandent le financement à l'Allemagne elle même. Totalement inconséquents de ce point de vue, on pourrait imaginer que les boches se mettent à financer à l'aveugle ceux qui les menacent afin de mieux assurer la fin de leur modèle économique basé sur un gaz en provenance de l'ennemi héréditaire de leur ami, celui-là même avec qui ils partagèrent, telle une dépouille de chèvre, le démembrement d'icelui et cela 4 fois dans l'histoire. Disons 4 fois et demi, car le démembrement de 1945 ne lui profita pas...
Le centre europe sent la merde et l'oubli, l'inconséquence, la bêtise, l'inculture et la méchanceté y règnent absolument, justifiant d'ailleurs les haines nécessaires qui conduisirent à l'abaissement de ce faux empire écrasé à raison par l'histoire: Pologne Lituanie, faiblesses hargneuses et prétentions insupportables, plus la forfanterie débile: cela a justifié cela. En effet, on le voit bien la charmante Pologne opprimée des années 80 reste bien ce qu'elle a toujours été: insupportable, bavarde, prétentieuse, et surtout incapable.
Au passage, un bout de Pologne fut pris par la Russie, et donné à l'Ukraine: c'est là que se forgeât un racisme anti polonais et anti sémite qui arme les fanatiques d'aujourd'hui. La gerbe ! Dommage que le conflit nucléaire nécessaire qui aurait fait justice de ces territoires peuplés de cons et de salauds n'ait pas eu lieu...
En tout cas, l'Allemagne est en train de bouger et tout en étant à l'heure actuelle en plein délire stupide, se met à faire preuve de hargne publiquement: à l'égard de la Pologne en refusant toute réparation, et aussi à l'égard de la France avec qui on prend de moins en moins de gants, l'évidence de la spoliation électrique en forme de vol pur et simple et de pillage digne des guerres mondiales étant ce qu'elle est. Hélas, malgré l'ampleur des rapines, le mal est bien trop grand: l'industrie Allemande s'arrête progressivement et on n'attend plus que les violeurs russes à Berlin pour se consoler... Une fois l'ampleur du désastre réalisé, il faudra qu'une réaction ait lieu et elle sera violente, cela est sûr, d'abord en interne et en externe on verra. Un coup d'Etat vient d'avoir été tenté. Quel Mein Kampf va être rédigé sans qu'on le sache ?
Retour au sujet: l'OTAN ne peut pas s'impliquer dans un conflit à risque nucléaire. Cela d'autant plus que celui ci pourrait bien commencer par des frappes d'introduction conventionnelles (ayant vocation à introduire des négociations d'urgence évidentes) qui pourraient faire mal. Incapable d'arrêter des missiles sur des concentrations d'hommes et de matériel situées en Pologne, il serait dommage de se faire humilier pour rien si la tension montait trop, l'équivalent en retour, orchestré par les USA, ne pouvant être engagé sans riposte nucléaire.
De fait, la frappe conventionnelle sur l'OTAN préalable à l'escalade mortelle que personne ne pourra accepter, est entre les mains de la Russie. Les USA doivent donc gérer l'engagement encore masqué des mercenaires polonais, dont la présence, régulièrement signalée par les russes (qui ne se gênent pas pour les massacrer préférentiellement) joue comme une manière d'énerver... L'attaque vicieuse non déclarée de la Russie par un OTAN qui s'engagerait de plus en plus, du fait de la défaillance ukrainienne, d'abord en armes, et maintenant en hommes, est dangereuse et le discours sur "les négociations" mené actuellement en Occident ressemble à un début de gestion des perceptions en faveur d'une soumission à l'inéluctable: la victoire russe.
L'ampleur de la victoire Russe
La question est de savoir son ampleur.
Mais essayons de voir la situation stable qui devra prévaloir "à la fin". Elle sera marquée, et cela la Russie l'exige, par une absence de conflit gelé à la disposition des démagogies ukrainiennes: démilitarisation ET dénazification doivent absolument être obtenues, et avec des garanties effectives.
Les conséquences de cet objectif (qui sera réalisé, cela est indubitable) forment notre présent: une guerre d'attrition systématique qui organise la destruction du militaire ukrainien (armes et hommes). Saignée à blanc, la génération ukrainienne qui s'est précipitée pour mourir afin de récupérer des terres russes qui ne lui appartenaient pas, et qu'elle n'obtiendra jamais, est en train de disparaitre pour rien, bercée par des promesses insensées qui ne signifient rien. On admire le courage ukrainien; ne faudrait il pas plutôt plaindre l'insondable bêtise, voir la désespérante connerie ? Ou bien, ce qui est encore plus triste, une frénésie de vengeance pour les morts, auto entretenue et orchestrée par une dictature impitoyable qui impose une propagande crypto nazie abrutissante ?
Une sorte d'extermination silencieuse et héroïque. Bien sûr les pertes ne sont pas de 100%, mais disons d'un minimum de 15 % (celles de 14-18 en France), suffisantes pour dissiper toute envie guerrière pour longtemps. À 30% , ce qui pourrait être le cas en fait au rythme actuel, tout peut se produire: en tout cas, le sentiment "tout ça pour le Donbass?" devrait, selon toute hypothèse, finir par passer le mur des propagandes. La stratégie russe est claire: attrition maximale prudente, pas d'offensives et du grignotage derrière l'artillerie, le plus longtemps possible.
Simultanément les destructions majeures d'infrastructures, et qui opèrent sur un pays qui est déjà privé de sa partie la plus industrialisée, précisément, condamnent l'avenir économique du pays, déjà en passe d'être incapable militairement... À moins qu'ils ne se voient, ce qui n'est pas impossible, comme une Allemagne d'après 45, libérée enfin des pesanteurs des vieilles infrastructures, et prêt à dominer le monde, en ayant eu la chance de redémarrer de zéro et de tout reconstruire. Merci à la Russie de foutre toute cette merde en l'air... Notons tout de même que cette "stratégie allemande" s'arrêta brutalement à la mort d'Hitler, comme si l'envie de sacrifice avait des limites. D'ailleurs bien leur en a pris, les américains avaient des trucs en magasin pour réduire leurs pertes... Tout tiendrait-il au maintien en vie de Zelensky, le clown cauchemardesque qui maintient les ukrainiens en état de stupeur terrorisée ?
Dénazification
Pour ce qui concerne la dénazification, on espère d'abord qu'elle ne nécessitera pas une extension aux opinions polonaises et allemandes, qui pourraient bien être saisies de fureur quand elles réaliseront l'ampleur de la catastrophe que la connerie de leurs dirigeants a organisé. Je me met à leur place, et rêve (sinistrement) à ce qui arriva dans les camps de concentrations nazis du tout début du règne de Hitler: le martyre des sociaux démocrates, communistes et opposants de tout poil, juifs ou pas, fut extrêmement cruel et à la hauteur de la haine idéologique et historique qu'on leur vouait. Simultanément, des rêves de recouvrement des anciens pouvoirs magiques pourraient se faire jour, et comme il est devenu licite chez un prétendant à l'Europe, d'organiser défilés aux flambeaux et cultes d'idoles barbares au nom des légitimes traditions nationalistes, et bien on pourrait s'y mettre tous et tous contre la Russie !!! Après tout Macron n'en est pas loin, et ses refondations perpétuelles pourraient aller jusqu'à recréer la division Charlemagne ! Un beau rune tatoué sur le front et chantons donc le chant du diable (1). A la française, hélas, et donc bien moins frappant que l'original (2). Quand on est allé jusqu'à se faire insulter par un clown drogué porteur de l'insigne de la division das Reich, on peut tout se permettre !
Le voilà le nationalisme ukrainien ! Et bien moi, je soutiens son contraire (3).
Les 80 ans de paix que nous a donné l'Europe, 30 ans pour l'est de l'Europe ont accumulé certains ressentiments, dont la frénésie woke nous donne une idée. Il y a dans l'autre sens une colère encore rentrée qui devrait faire des dégats, je la ressens moi même. Ce mépris là est aussi celui de la "Russie éternelle", encore trop récemment entrée dans la modernité, et avec un souvenir très vif des bons sentiments européens capables par hypocrisie d'innocenter les pires souffrances des pires truands. Car le "nazisme" ukrainien est d'abord celui des gangsters corrompus qui gèrent le pays, tout comme les tatars le faisaient à la grande époque et comme la mafia russe enfin débarrassée d'un Etat fort a pu le faire dix ans. Une caractérisitique de l'Etat Russe est sa sauvagerie à l'égard de l'ignoble indiscipline des grandes plaines. Pour eux les nazis étaient des barbares autant que les mongols. N'oublions jamais les deux têtes d'aigle du blason: puissance "centrale", la Russie fut créée et se défend contre les deux directions.
La dénazification concerne donc, et assez logiquement en fait, tout ce qui vient de l'occident. Il est assez surprenant de réaliser que le LGBT est pour eux aussi nazie que la pédérastie des SA ou que le racisme anti slave des allemands: une manière de se faire mépriser racialistement que n'apprécie pas du tout, mais alors pas du tout, un peuple qui se voit comme garant de la civilisation, et seul vrai héritier du miracle grec, alphabet et religion compris.
La défaite européenne
La ruine en cours de l'Europe Occidentale, on ne sait pas pour l'Amérique, devrait se manifester brutalement dés cette année. La baisse de niveau de vie va être phénoménale en France et en Allemagne, cela avant toute tentative politique pour y réagir ou y pallier. A la fois profondément atteinte par le mal et profondément engagée dans son renforcement, l'Union Européenne et ses élites ne peut pas réagir et ne le fera pas. Il faudra une autre génération de politiques pour cela.
En attendant, la Russie isolée avec le reste du monde, va représenter seule l'impérium blanc et devra manifester sa puissance. Il n'y aura pas de négociations, cela est maintenant certain, et la détestation pour la "barbarie" occidentale qui va se manifester devrait nous surprendre. Un point important est la révélation par Merkel confirmée par Hollande de la duplicitié des "garants" des accords de Minsk: il s'agissait de gagner du temps pour permettre à l'Ukraine de mieux se préparer militairement. Piétinant avec mépris les 8 ans d'avertissements à bas bruit que le pauvre Poutine cocu nous envoya patiemment, elle est pour tout spectateur et surtout pour l'acteur Russe, la justification de la guerre et de l'absence à venir de tout traité qui ne reposerait pas sur l'imposition de la force brutale. Merkel violenda est.
Bien trop lente à réaliser l'inéluctable de son affaiblissement et de sa décrédibilisation, l'Europe s'enfonce dans son déni et l'ampleur de sa punition à venir s'accentue.
Deux scénarios, suivant la vitesse de l'effondrement militaire et la volonté pressée de la Russie de le provoquer.
1) Une victoire "rapide" qui permettrait à la Russie d'occuper la mer noire, Kherson et disons Dniepropetrovtsk, Kharkiv étant en balance. Un glacis au delà des terres annexées (l'oblast d'Odessa étant bien sur annexé, avec la bessarabie ) de plusieurs dizaines de kilomètres, défendu par un no mans land à la coréenne sera instauré et augmenté de terres riches et précieuses rendues inutilisables. La Russie s'engagera, sur les ruines de la confiance perdue de l'Occident, dans un développement propre qui commencera par encourager une immigration rendue nécessaire par la situation, et qui viendra aussi bien de l'Ukraine ruinée que du reste de l'Europe (pourquoi pas?). La course de vitesse portera sur la vitesse de décroissance de la population chinoise qui devrait ou non tempérer ses ardeurs, sachant que pour la Chine, l'heure sera à gérer une évolution industrielle majeure basée sur l'exploitation des machines et donc des matières premières russes maintenant entièrement redirigées et à bas prix vers la première économie du monde.
2) Une victoire "lente" basée sur le maintien d'un front ultra violent qui repousse progressivement les forces de l'OTAN tout en les détruisant progressivement. Le no mans land peut alors se situer au delà de n'importe quelle ligne, le glacis se stabilisant progressivement ou pas, et l'attrition maitrisée par la Russie dégénérant progressivement vers un conflit plus dur qui sera d'abord marqué par une migration massive de la population ukrainienne. Cela fait environ deux mois que la vie devient vraiment pénible en Ukraine et les réfugiés doivent augmenter en nombre... L'irritation polonaise est d'ailleurs en rapport, et les gesticulations glapissantes et terrorisées du gouvernement polonais semblent liées au problème. Un grand silence des médias sur la question, l'heure étant encore à la victoire militaire ukrainienne. De dix à vingt millions d'Ukrainiens vivent hors d'Ukraine...
L'attention se trouvera ainsi détournée par des accidents variées, dont le moindre devrait être l'invasion de Taiwan ou du moins une escalade notable concernant les évènements en rapport, en passant par l'excitation turque, le bruit des bottes stimulant toutes les volontés d'expédients et la Russie jouera dans tous les cas tout ce qui peut permettre davantage de confusion et de discorde dans les attitude de ses ennemis. Au final, épuisée et démembrée aussi par ses alliés polonais, l'Ukraine abandonnée de tous s'effondrera complètement et les nazis seront chassés et poursuivis, le seul moyen de manger étant d'amener à la police des paires de leurs couilles. Stratégie patiente, attendant que l'ennemi épuisé accomplisse lui même ce qu'on lui demande, elle peut prendre deux ans, le temps que l'Europe entière, de guerre lasse, se convertisse à l'orthodoxie...
On pourrait alors parler d'ailleurs ici de "stratégie du chaos", le dernier point en forme d'espoir étant que la duplicité russe est en fait ancienne, au point d'avoir provoqué ce qui arrive. La théorie du complot est donc que c'est bien Poutine et ses propagandistes qui ont inventé le woke, l'espoir fou d'une Chine démocratisée par son inscription à l'OMC, et pour finir le nazisme ukrainien, toutes choses provoquant la folie occidentale dont elle a l'intention de profiter maintenant.
Répétons tous en coeur: c'est la faute à Poutine, c'est la faute à Poutine.
(1) https://archive.org/details/division_charlemagne_-_le_chant_du_diable
(2) Teufel lied: https://archive.org/details/waffen-ss-marschiert-in-feindesland
(3) guerre sacrée: https://youtu.be/ggwGTJC_XLk